«Pour apporter des réponses à cette question nous nous appuierons sur notre orientations issue de notre premier congrès», a indiqué le président par intérim du parti, Salifou Diallo dans son discours d’ouverture du Congrès.
Il a rappelé qu’il s’agit «de rechercher dans le cadre de la démocratie républicaine et dans le respect de l’économie de marché, à obtenir par des reformes et des changements, une organisation sociale plus juste, solidaire et conforme aux aspirations du peuple».
Pour Salifou Diallo, le programme du président Roch Marc Christian Kaboré «Bâtir avec le peuple un Burkina Faso de démocratie, de progrès économique et social, de liberté et de justice » participe de cette «noble» orientation dès la création du parti en janvier 2014.
Estimant que l’épanouissement de l’homme demeure un sacerdoce M. Diallo a invité les militants «à redoubler d’ardeur au travail, d’audace et de discipline pour faire entrer le programme dans le quotidien des burkinabè».
Le président par intérim du MPP a adressé ses félicitations aux représentants des partis politiques, aux autorités coutumières et religieuses, à la diaspora et aux partis frères venus de l’étranger en soutien au parti «dans la lutte pour le renouveau démocratique».
Selon le Président du comité d’organisation, Salifo Tiemtoré, plus de 5.000 congressistes participent à cette rencontre statutaire.
Les participants sont des membres de la direction politique nationale du parti, des délégués des 13 régions et des 45 provinces du Burkina Faso.
A eux s’ajoutent des unions nationales de jeunes, de femmes et d’anciens, des coordinations socio-professionnelles comme ceux des marchés, du secteur informel, des travailleurs du public et du privé, etc.
Sans oublier, des délégations représentant le parti en Afrique, en Europe et en Amérique sont aussi de la partie.
Crée en Janvier 2014, le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) tient son deuxième congrès ordinaire, après celui organisé en avril 2014.
La rencontre qui s'achève demain dimanche devra permettre de désigner le président du parti, en remplacement de Roch Marc Christian Kaboré qui, conformément à la Constitution du Burkina Faso, juste après son élection, devait léguer la gestion du pays
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