« Le 11 février 1961 est le jour de l'élection au cours de laquelle on a offert un choix aux anglophones du Cameroun. Soit être réuni avec leurs frères francophones, soit être rattaché au Nigeria. Vous ne pouvez pas prendre le jour où les gens ont voté pour la réunification, qui est un moment vraiment très important pour nous, et en faire la fête de la jeunesse ! » affirme un opposant de Bamenda.
Ce boycott de la journée de la jeunesse est un message de détermination adressé au gouvernement. Un moyen pour les protestataires de signifier qu'ils réclament un retour au fédéralisme, mais pas la sécession des régions anglophones.
Avec Rfi
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