Les autorités médicales rassurent que des mesures sont en cours pour satisfaire l'ensemble des malades.
Cette crise d'antirétroviraux perdure en Centrafrique depuis le mois de juillet.
Plusieurs facteurs expliquent ce problème comme la non prise en compte de nouveaux cas d'infection au VIH ou des problèmes liés au transport, selon Dr Junior Ouefio, le Directeur de la Pharmacie, des Laboratoires et de la Médecine traditionnelle au Ministère de la santé publique.
Quelles pourraient être les conséquences cliniques d'une rupture de traitement pour un malade ?
Dr Gilbert Guifara, Médecin de Santé publique détaché à l'OMS-RCA évoque, entre autres, l'augmentation de la charge virale.
Pendant la période de rupture, certains partenaires comme Médecins Sans frontières ont pu mettre des ARV à la disposition du Ministère de la santé au profit des malades.
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