Alors que le procès des auteurs présumés du putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso a repris ce mercredi à Ouagadougou, la défense persiste à contester la légalité du tribunal, comme à l'ouverture du procès fin février.
Le 27 février dernier, à l’ouverture du procès sur le putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso, les avocats de la défense s’étaient retirés, entraînant sa suspension pendant trois semaines. Ils contestaient la légalité du tribunal militaire, composé de deux magistrats professionnels et de trois militaires ayant le rôle des assesseurs. Dès la reprise du procès, ce mercredi 21 mars, ils la contestent de nouveau.
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