Lancement ! Arrêt ! Reprise ! Mais cette fois semble être la bonne. Rendez-vous est pris pour la fin du mois de mai 2018 pour la livraison des travaux, si l’on en croit les techniciens des chantiers. Les consignes du bailleur de fonds, c’est-à-dire la Banque mondiale, sont claires. Les chantiers, à savoir la route Aboisso-Noé (frontière Ghana) et l’ouvrage sur le fleuve Tanoé, baptisé pont de Noé (long de 120 m en 2x2 voies dans sa phase finale) doivent être totalement achevés et livrés à cette date.
Tenir le pari
De passage sur les sites dans le dernier trimestre de 2017 et dans la première quinzaine de janvier, le constat est clair : les ingénieurs, techniciens et ouvriers de la société NSE-CI sont déterminés à tenir le pari car les populations du Sud-Comoé mais aussi les opérateurs économiques et autres usagers qui fréquentent cette voie, et qui avaient commencé à être gagnés par le découragement, croient à présent à la sortie du bout du tunnel. Désespérés parce qu’estimant que les travaux avaient pris du temps depuis leur lancement en 2016 pour 24 mois, les populations ont à présent le sourire aux lèvres parce qu’il y a une visibilité sur l’évolution des chantiers.
Le sujet en question concerne le « Projet de facilitation du commerce et du transport sur le corridor Abidjan-Lagos (Pfctcal). Financement Banque mondiale-Don IDA H 787-CI » pour un montant de 90 millions de dollars américains soit 45 milliards de FCfa et comportant plusieurs composantes. La nature des travaux : « réhabilitation de la route Aboisso-Noé/ Réhabilitation et élargissement du pont de Noé ». La signature du contrat de financement...
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