Les 10 rituels sexuels les plus étranges à travers le monde !

Dans différentes régions du monde, il existe un certain nombre rituels sexuels bien étranges, bien loin de nos pratiques….

1.     La tribu des Sambians: Boire le sperme des anciens du groupe !

Dans la tribu des Sambians, pour devenir un homme, les garçons doivent être séparés des femmes à l’âge de 7 ans pendant 10 ans ! 10 années durant lesquelles on leur perce également la peau pour enlever toutes les contaminations que les femmes qu’ils auraient connues avant 7 ans auraient pu laisser sur eux. Ils doivent également boire le sperme des aînés, afin de favoriser leur croissance et décupler leur force.

2.     Les Mardudjara : couper le pénis pour devenir un homme !

Dans la tribu aborigène des Mardudjara, après avoir circoncis les jeunes garçons on les oblige à avaler leur prépuce. Puis une fois le pénis cicatrisé, on l’incise sur sa longueur par en dessous ; une incision pouvant parfois aller jusqu'à l'anus. On verse ensuite le sang récolter au-dessus du feu pour le purifier.

3.     La Colombie et les danses sexuelles

En Colombie à Goajiro on pratique une danse cérémonielle durant laquelle une jeune femme attrape le jeune de son choix. L’heureux élu doit alors obligatoirement l’honorer.

4.   Mangaia : éducation sexuelle précoce

A Mangaia, une petite île dans le Pacifique Sud, dès l’âge de 13 ans, les garçons ont des rapports sexuels avec des femmes plus âgées qui ont pour mission de leur enseigner la retenue pour qu’ils apprennent à mieux retarder le moment de l’éjaculation et pouvoir par la suite augmenter les chances que les femmes qu’ils rencontrent atteignent leur plaisir.

5.     Brésil : lutte amoureuse

Dans le village Mehinaku au Brésil, les hommes doivent se battre pour que le vainqueur puisse coucher avec des femmes et leur offrant des poissons en cadeaux.

6.     Papouasie : sécrétions vaginales impures et sperme salvateur

Dans la tribu des Baruya, toujours en Papouasie, au-delà du fait que le baiser ne se pratique pas, il est interdit à la femme de chevaucher son partenaire car ses sécrétions vaginales risqueraient de s’épandre sur le ventre de l’homme et le contaminer. C’est pour la même raison que les hommes se refusent à pratiquer des cunnilingus. Les Baruya s’abstiennent également de faire l’amour après la naissance d’un enfant, jusqu’à ce que ses premières dents ne poussent. Enfin, les jeunes guerriers baruya doivent faire boire leur sperme aux femmes affaiblies par leurs règles ou par un accouchement. Les jeunes garçons sont également nourris du sperme de leurs aînés afin de les rendre plus grands et plus forts.

7.     Au Népal : les frères se partagent la même femme !

Dans une tribu népalaise il est de coutume que les hommes d’une même fratrie se partagent la même femme. En réalité, chaque famille doit se partager la terre disponible pour l'agriculture. Or, plus il y a de familles, plus la terre est divisée en petites parties. En épousant la même femme, la famille peut ainsi conserver de grandes parcelles de terre.

8.     Iles marquises : le modèle parental

Enfin dans les îles Marquises, il est de bonne aloi et même recommandé de regarder ses parents faire l’amour.

9.   La Papouasie et l’assurance génétique

En Papouasie, dans certaines tribus primitives, les hommes auraient des relations sexuelles entre eux avant de s’accoupler avec une femme. Et attention on ne parle pas là-bas de relation homosexuelle mais d’ « assurance énergétique ». En effet, les hommes pensent que les femmes possèdent une énergie négative susceptible de leur voler leur énergie positive durant l’acte. Voilà pourquoi, ils préfèrent se «charger» entre eux avant d’affronter sexuellement leurs épouses !

10.              La sélection durant la nuit en Nouvelle-Guinée

Dans l'ouest de l'océan Pacifique au nord-est de la Nouvelle-Guinée, dans les îles Carolines, les hommes soulèvent la nuit les jupes des filles endormies afin de pouvoir les sélectionner à l’avance en fonction de la beauté de leurs grandes et petites lèvres. Ils se mettent en couple ensuite avec leur favorite et frappent leurs pénis contre le clitoris de leur partenaire jusqu’à ce qu’ils atteignent un orgasme simultané.