Depuis son éviction, le 28 février 2018, de la présidence du Conseil d’administration de la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR), le maire du Plateau, Noël Akossi Benjo, a pour la première fois parlé du sujet. C’était jeudi 15 mars lors d’une conférence du PDCI. Laissant croire que son limogeage est purement politique, Benjo a répondu de façon tacite au président Ouattara, mais aussi à Fabrice Sawegnon qui lorgne le fauteuil municipal de la Commune.
« Depuis que tous les matins, on a donné des moyens à quelques enfants pour m’insulter, et qu’on m’a enlevé (de la SIR, ndlr), je me rends compte que les Ivoiriens sont tous derrière moi. Je ne peux même pas marcher à Abidjan. Je ne me suis jamais senti aussi heureux depuis que je suis martyrisé, je suis devenu victime. Je suis heureux parce que ça me donne la force de me battre pour mes frères et mes sœurs, et j’irai jusqu’au bout », a lancé Akossi Benjo, qui a indiqué que son combat n’est pas pour des postes mais pour une Côte d’Ivoire paisible.
Départ de la SIR et Mairie du Plateau : Akossi Benjo répond à Ouattara et Fabrice Sawegnon Depuis son éviction, le 28 février 2018, de la présidence du Conseil d’administration de la Société Ivoirienne de Raffinage (SIR), le maire du Plateau, Noël Akossi Benjo, a pour la première fois parlé du sujet. C’était jeudi 15 mars lors d’une conférence du PDCI. Laissant croire que son limogeage est purement politique, Benjo a répondu de façon tacite au président Ouattara, mais aussi à Fabrice Sawegnon qui lorgne le fauteuil municipal de la Commune. « Depuis que tous les matins, on a donné des moyens à quelques enfants pour m’insulter, et qu’on m’a enlevé (de la SIR, ndlr), je me rends compte que les Ivoiriens sont tous derrière moi. Je ne peux même pas marcher à Abidjan. Je ne me suis jamais senti aussi heureux depuis que je suis martyrisé, je suis devenu victime. Je suis heureux parce que ça me donne la force de me battre pour mes frères et mes sœurs, et j’irai jusqu’au bout », a lancé Akossi Benjo, qui a indiqué que son combat n’est pas pour des postes mais pour une Côte d’Ivoire paisible.
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