Dans un tweet publié lundi, l'ex-chef du Parlement ivoirien a convoqué les 743 membres du Conseil d'orientation et de coordination (COC) de GPS à une importante réunion prévue le dimanche 21 mai 2023.
Après près d’un an d’absence, Guillaume Soro est sorti de son silence le lundi 8 mai 2023. À travers une visioconférence, diffusée sur ses réseaux sociaux, l’ancien chef du Parlement ivoirien en exil depuis fin 2019 s’est adressé à ses hommes, évoquant à l’occasion la question de son retour en Côte d’Ivoire.
GPS veut reprendre ses activités sur le terrain
« Je rentrerai en Côte d’Ivoire, comme Victor Hugo l’a dit, quand la liberté rentrera. Quand il y aura en Côte d’Ivoire une situation politique nationale aseptisée. Je suis plutôt confiant et optimiste », a rassuré l’ancien chef de la rébellion du MPCI sur la question.
Mais avant, ce come-back très attendu, Guillaume Soro qui n'exclut pas de se présenter à la présidentielle de 2025, veut retrouver le GPS, malgré sa dissolution, encore plus fort et prêt à relever les prochains défis électoraux.
Je demande aux cadres de faire le travail de terrain, de constructions, d’enracinement de GPS
« Je suis tranquille dans ma tête. Je fais le travail de réflexion de GPS. Et je demande aux cadres de faire le travail de terrain, de constructions, d’enracinement de GPS », laissait-il entendre.
En vue de mieux coordonner le travail des hommes sur le terrain, l’ex-chef du Parlement ivoirien a procédé en fin de semaine dernière à de nouvelles nominations au sein du Conseil d’orientation et de coordination (COC).
Cette instance décisionnelle de GPS compte désormais 743 personnes après le dernier réaménagement opéré par le président du parti.
Points à l'ordre du jour
Dimanche 21 mai, ces fidèles de Guillaume Soro sont convoqués à une importante réunion où question de la reprise des activités du parti en dépit de sa dissolution par les autorités ivoiriennes, est l’un des principaux points à l’ordre du jour.
La question de la participation ou non de génération et peuple solidaire aux élections municipales et régionales du samedi 2 septembre 2023 devrait être également abordé.
Auteur: Linfodrome
Publié le: Mercredi 17 Mai 2023
Commentaires (1)
La responsabilité se trouve à 3 niveaux :
- les géniteurs qui ne méritent pas le titre de parents. Les premiers responsables, ce sont des animaux au vrai sens du terme. Aucune forme de pauvreté ou de croyance ne justifie cette fuite de responsabilités. Quand on ose dire au supposé maître coranique de son enfant "ay yakham la-la ladj" cela signifie implicitement qu'ils ne lui demanderont jamais de comptes à plus forte raison lui porter pleinte quel que soit le traitement infligé.
- les supposés maîtres coraniques de vrais tortionnaires sans état d'âme, sortis tous droit des entrailles de l'enfer. Ils me rappellent le capitaine Domato dans Kunta-Kinté. C'était à eux d'aller mendier sils étaient convaincus de leur mission.
- Nous sénégalais lambda, nous qui croyons que notre avenir sera d'autant plus belle que nous aurons de bons marabouts chargés de nos "kharfa-foufa". On nous apprend à croire dès le bas âge à l'importance du marabout "guissané" à travers les gris-gris dont on nous barde, les "sarakh" et bains mystiques de notre entourage proche, les "nawétanes" et entre autres les pratiques mystiques de la lutte. Tout ceci justifie l'existence de ces talibés premières cibles des "sarakh".
Comme on est au Sénégal, je n'ose pas parler des grands propriétaires terriens multimilliardaires que sont nos chef religieux ou "serignes tarikha" mais il est de notre devoir de souligner leur complicité tacite à travers un silence assourdissant. Entre construire une mosquée à coup de milliards et investir ces mêmes milliards dans l'implantation de darras suivant la subdivision territoriale, à l'instar de la case des tous petits, respectueux des besoins de la petite enfance ou se trouve la priorité ?
Je suis encore désolé de le souligner mais des gens comme Khadim Samb de "thiakhabal" et Iran Ndao ne peuvent constituer des références en terme de réussite sociale pour justifier le maintien de ces pratiques d'un siècle révolu.
Participer à la Discussion