L’ex-ministre des Sports et député de Fresco est l’un des proches de Guillaume Soro très actifs sur les réseaux sociaux. Alain Lobognon ne manque pas une seule occasion pour exprimer son opinion sur l’actualité nationale et internationale. Relativement aux mutineries en Côte d’Ivoire depuis janvier 2017, dont la dernière est l’œuvre des Forces Spéciales, l’ex-ministre qui est un des cadres civils de l’ex-rébellion armée ivoirienne, refuse qu’on y associe le nom de Soro Guillaume, chef de ladite rébellion et actuel président de l’Assemblée nationale.
« Je dénonce les accusations visant Guillaume Soro. Je dénonce », a-t-il posté sur Twitter, mercredi soir 8 février 2017. La réaction du bras droit de Guillaume Soro est consécutive à des propos de certains internautes qui voient la main du chef du Parlement derrière ces mutineries menées surtout par des militaires issus des ex-Forces armées des Forces nouvelles qui ont combattu en faveur de l’actuel régime ivoirien.
D’ailleurs, lors des premières mutineries de janvier, certaines langues avaient indiqué qu’elles étaient suscitées pour forcer l’Exécutif de donner la présidence de l’Assemblée nationale à Guillaume Soro.
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