L’actualité cette semaine en Côte d’Ivoire a été entre autre marquée par la décision de la justice d’acquitter l’ex première Dame Simone Gbagbo accusée de crimes contre l’humanité pendant la crise post-électorale en 2011.
Depuis lors, les réactions se font entendre de partout. L’ex premier ministre Charles Konan Banny qui s’est mué dans un silence total depuis le présidentielle 2015, n’est pas en reste.
« Quelle que soit la position qu’il occupe dans l’échelle sociale, quels que soient l’infraction, le délit ou le crime qui lui sont reprochés, tout citoyen doit être traité par la justice comme un justiciable. Et, quelle que soit la nature de ce qui est reproché au prévenu, seule la justice, après en avoir délibéré conformément aux règles du droit, peut le déclarer coupable ou innocent des charges qui pèsent contre lui », indique l’ex gouverneur de la BCEAO qui ajoute: « Par ailleurs, lorsqu’un pays sort d’une crise si grave que l’autorité publique décide de mettre en œuvre un programme de justice dite transitionnelle, les recommandations issues des mécanismes de cette justice transitionnelle doivent être examinées et traduites en actes de gouvernement. »
« Sous ce rapport, le verdict rendu le mardi 28 mars 2017 par la Cour d’assises chargée de juger Mme Simone Gbagbo pour crimes contre l’humanité est un sujet de satisfaction. Non pas parce qu’il absout la prévenue, mais parce qu’il est conforme aux conclusions de tous les spécialistes qui, après avoir examiné la procédure en cours, ont considéré qu’elle ne permettrait pas de prononcer un jugement équitable », a justifié Konan Banny.
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Anonyme
En Avril, 2017 (00:16 AM) %ddddw4€wdrffd%*€€%¢dWww*4f4€Ww*€rdw*€wfx4%€rdd*dwD€d*wParticiper à la Discussion
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