Pendant deux jours, 80 participants seront instruits sur les techniques de prévention et de gestion pacifique de conflit. Ils seront formés également sur les droits humains, le concept de genre en période de conflit et sur le développement communautaire.c'est une initiative du Conseil régional du Bounkani. A l’ouverture, Aboubakary Kambouté, représentant le président du Conseil régional, a fait savoir que la cohésion sociale ne doit pas être « une chimère ».
Le directeur de cabinet de Philippe Hien a mis en mission tous les acteurs de la vie politique, économique, sociale du Bounkani à soutenir les efforts de sa structure afin de ne plus revivre des violences « marquées par des morts d’hommes et des déplacements de populations ». « Transformons le négatif en positif, la diversité en richesse. Taisons nos querelles et pensons le développement du Bounkani », a-t-il exhorté.
Tuo Fozié, préfet du département de Bouna a condamné les violences et a soutenu qu’elles ont « ébranlé » la vie en communauté et « mis en mal » la cohésion dans cette circonscription.
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