Après Bassam et Yamoussoukro, l’étape de Daloa a marquée la fin d’un sicle de formation sur le leadership et jeunes syndicalistes dont la thématique a portée sur la négociation syndicale et la gestion de crise en entreprise .
Selon Séraphin Konan Kouamé , conseiller politique à la fondation Friedrich- Ebert-Stiftung par ailleurs l’un des formateur de cet atelier,
« le rôle d’un syndicaliste , c’est le bien être de ses camarades et de ses employés , en dépit des contestations il a aussi pour rôle de faire des propositions aux chefs d’entreprises pour que le droit du travaille soit respecté ».
Du Jeudi 17 au Samedi 19 Octobre 2019 à travers ce projet , cette organisation non gouvernementale s’est attelée à promouvoir dans la cité des antilopes la participation des jeunes et des femmes syndicalistes des différentes centrales syndicales et quelques syndicats de base dont l’âge varie de 18 à 35 ans maximum : à la vie syndicale par un engagement concret par la transformation du mouvement syndical sous le thème :
« La négociation syndicale dans la prévention et la gestion des crises en entreprise. » .
Cette édition de l’académie des jeunes nous a permis de mieux connaître les mécanismes de fonctionnement d’un syndicat en témoigne Marie Thérèse Tapé de la SYNASEC (syndicat des Agents de l'électricité et du combustible).Abondant dans le même sens, Herman Kouadio, président des jeunes de la Centrale dignité a indiqué pour sa part que, ladite formation lui a permis de comprendre l’autorité à un niveau donné et lui permettra de changer sa vision en matière de procédure syndicale et de négociation.
Des exposés suivis d’échanges ainsi que des travaux en atelier ont meublés cet atelier animé par les experts nationaux et internationaux et la Friedrich-Ebert-Stiftung (FES) qui disent –ils, prendront en compte la spécificité des jeunes.
Auteur: MBATIO
Publié le: Lundi 21 Octobre 2019
Commentaires (0)
Participer à la Discussion