Les grèves intempestives enregistrées dans les établissements scolaires du pays inquiètent les patentes d’élèves. Celles-ci ont décidé de porter l’affaire devant la Commission nationale des Droits de l’homme de Côte d’Ivoire (Cndhci).
Le lundi dernier, au siège de ladite commission au Vallon, une délégation de parentes d’élèves, conduite par Assoa Honorine, porte-parole de la délégation, a été reçue par la présidente de la Cndhci, Namizata Sangaré. Assoa Honorine, a interpellé la Cndhci sur la situation qui prévaut dans le système éducatif ivoirien et a exhorté, à l’occasion, les responsables de cette structure à se pencher sur la question. « Nous sommes venues vous demander de nous aider à trouver des solutions pour éviter une année blanche à nos enfants. Nous souffrons pour assurer leur scolarité. Il serait injuste que tous nos efforts soient vains », s’est-elle indigné.
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