Plusieurs dégâts matériels ont été constatés par la gendarmerie de Grand-Bassam informée.
Selon l’un des vigiles admis à l’hôpital général de Grand-Bassam, aux environs de 2 H du matin, une dizaine d’individus armés de bois, de machettes, de pistolets ont fait irruption dans l’établissement secondaire.
« Quand ils m’ont aperçu, ils m’ont intimé l’ordre de me coucher en me pointant le nez du pistolet. Ils m’ont ligoté et m’ont bouché la bouche pour que je ne crie pas avant d’aller opérer tranquillement à l’insu des trois autres collègues postés loin de moi dans d’autres coins stratégiques », a expliqué Bakayoko Inza.
Il a eu la vie sauve malgré quelques lésions constatées sur son corps, des coups reçus sur la tête et des fractures des membres supérieurs.
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