En côte d’ivoire, les violences sexuelles sont considérées comme des crimes. Les acteurs encourent des sanctions allant de 6 jours à 10 ans d’emprisonnement, et une amende de 10 000 à 500 000 Fcfa, selon la gravité du délit. Un séminaire a été organisé à cet effet, hier mercredi au Plateau.
« Les Vbg constituent une violation du droit fondamental à la vie, à la liberté, à la sécurité et à la dignité. En Côte d’Ivoire, les victimes proviennent de toutes les couches socioprofessionnelles, mais les femmes constituent une cible privilégiée, du fait de pratiques telles que les mutations génitales féminines et les mariages précoces », a indiqué Epiphane N’Guessan Kouakou, directeur du cabinet du ministre de la Promotion de la Femme.
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