‘’En 1995, quand on créait les Coges, l’Etat a prévu une subvention dans le primaire, à hauteur de 2 milliards 7 00 millions de francs Cfa, qui est devenue 2 milliards 3 00 millions de francs. La banque mondiale qui avait promis sa quotte-part, du fait de la crise en Côte d’Ivoire, n’a pu intervenir. L’Etat supporte donc tout cela.
Au niveau du secondaire, sur les frais d’inscription en ligne, le Coges a 720 francs, actuellement. Il y a la quotte part de l’administration, le Fonds national Ecole, le Fonds d’appui à la pédagogie (Fosap). Il y a le Fonds pour les directions régionales et départementales et autres. Le fonds national de l’école, par exemple, quand à la veille de l’examen une école est décoiffée, la gymnastique que l’Etat fait pour la réhabilitation, c’est sur ce Fonds'’, a expliqué aux journalistes, le Directeur d'animation, de promotion et de suivi des Comités de gestion des établissements scolaires (Daps-Coges), Kouadio Kouamé David. Et de poursuivre:'’ Les frais annexes ne peuvent pas avoir le même montant.
Le livret scolaire, par exemple, il n’y a pas les mêmes informations, on ne peut pas uniformiser les coûts. Les enfants de Zouan Hounien ne peuvent pas payer les mêmes frais que ceux d’Abidjan parce que ce ne sont pas les mêmes besoins. Les parents doivent débattre de toutes les cotisations entre eux. C’est parce que la subvention ne suffit pas que les Coges ont recours aux cotisations pour atteindre leurs objectifs. Peut-être qu’un parent imprimeur peut décider de prendre en charge les frais d’impression, par exemple'’.
1 Commentaires
Djougou
En Septembre, 2018 (10:38 AM) que Kouadio Kouamé David nous donne les détailles des dépenses par an.qu'il nous dise combien lui et ses amis touchent à la tête du coges.
les part que les institutions ne payent pas c'est combien?
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