Ballon d'Or: Messieurs DIDIER DROGBA et PASCAL FERRÉ

Une chronique d'Adamah Khalil

À mon nom personnel, je viens vous apporter mon soutien et un suprême hommage. Vous dire Ô combien de fois je suis honoré et enchanté d'être à vos côtés pendant toutes ces années.

C'est le jour j. L'un sera sur la scène pour apporter sa modeste et prestigieuse stature à l'événement. L'autre sera tantôt dans les coulisses, tantôt dans la salle afin d'orienter, de guider les invités pour la prospérité et la grandeur de l'événement.

Je me souviens, comme si c'était hier encore, de cette soirée Dakaroise, sur les terres de la Teranga où l'idée avait totalement pris forme entre ''MON ATTAQUANT PRÉFÉRÉ '' et '' MON BOSS PERSONNEL'', accompagné du pool de dirigeants du groupe de presse avec Jérôme Cazadieu (Directeur de la Rédaction de L'Equipe) en tête de pont... Je vous tire mon chapeau pour avoir concrétiser cette idée fusionnelle.

Le groupe Amaury (éditeur des journaux de référence mondiale que sont France Football, L'Equipe...) venait ainsi de confier à Didier Drogba toute l'étendue du projet du Ballon d'Or 2019 pour en faire le digne Ambassadeur sur la Planète Terre. Ce qu'il faut louer, ce qui reste quand même honorable, c'est l'effort, c'est l'acceptation, c'est l'humilité, lorsqu'il vient d'un footballeur qui n'a certes pas gagné le sésame du temps où il était encore sur la pelouse. Mais, qui s'est porté volontier à accompagner les 30 joueurs nommés pour que le monde entier puisse s'en imprégner et vivre la fête de près ou de loin pendant des jours, des semaines et des mois.
Merci à toi DD...

Je ne veux point éluder un devoir que je suis heureux de remplir comme témoin de ces instants. Un devoir de mémoire. Une reconnaissance de sorte à ce que la postérité remet chacun à son rang. Sois en fier. Digne fils du football mondial. Ce 21ème siècle aura connu un footballeur au grand sens du sacrifice pour les autres. Je m'étonne parfois qu'en nos temps, des témoins de notre époque n'aient pas au moins l'estime de ceux qui exaltent le football moderne. Ce n'est rien de bien grave ! Didier, la scène du théâtre du Châtelet de Paris t'est grandement offerte.

Messieurs, ceci n'est point une digression car vous le savez, je n'hésite pas à dire les choses comme je les ressens. Ce que je veux honorer en vous, c'est justement cet inépuisable dévouement que le journaliste (Pascal) et le footballeur (Didier) montrent aux intérêts du ballon rond. C'est le grand amour avec lequel vous avez travaillé pendant de si longues années à l'œuvre que nous continuons à faire briller le BALLON D'OR.

Je suis heureux de te saluer Pascal. Toi, l'infatigable travailleur, Rédacteur en chef de France Football. Un de ces journalistes qui ont sûrement le plus fait pour la vraie dignité de la profession et la crédibilité des écrits.
Cher confrère MERCI.

Il reste donc à enfiler vos costumes afin de mêler le glamour au football. Le suspense des résultats à la fresque des écrits.

Que puis-je vous dire encore? Si ce n'est que la cérémonie de ce jour, restera comme une image charmante et grandiose.

Pour moi donc et en d'autres termes... AND THE WINNER IS... L'aimable professionnel du ballon rond qui a égayé toute une génération et qui candidate pour un meilleur mieux être des affaires du football, et l'infatigable chroniqueur de France Football qui a très souvent anobli le métier de sa prose.

En Côte d'Ivoire, on dira RESPECT À VOUS ...

#DROGBA #FERRÉ #FRANCEFOOTBALL