Ce score de partie diffère la qualification ivoirienne pour les huitièmes de finale. Il ne l’annule pas. Mieux, la Côte d’Ivoire a toujours son destin en main.
« Il faut y croire. Nous avons une finale à jouer le 20 janvier. Il faut la gagner. C’est tout », estime Wilfried Zaha qui s’explique difficilement le scénario rocambolesque de dimanche soir. « Mais c’est cela le football. La rencontre dure 90 minutes et il faut pouvoir rester concentré jusqu’au bout. Nous avons appris la leçon », promet la star de Crystal Palace. Depuis le début des hostilités dans le groupe E de Japoma, Wilfried Zaha est focus sur l’objectif du groupe. A savoir ramener la coupe en Côte d’Ivoire au soir de la 33e édition de la Can.
Entré en cours de jeu contre la Guinée équatoriale, il avait allumé les dernières mèches pour enflammer la cage adverse. Dimanche encore, le virevoltant ailier ivoirien a traduit dans les faits ses déclarations d’avant Can contre la Sierra Leone.
« Nous ne sommes pas là pour être cités parmi les favoris. Nous n’avons rien à envier toutes les équipes qui participent à ce tournoi. En 2019, en Égypte, nous nous sommes arrêtés en quarts de finale. Mais cette fois, avec l’équipe que nous possédons, si nous sommes vraiment concentrés, nous pouvons gagner. Cette Can au Cameroun est à notre portée. Nous n’avons peur d’aucune équipe », déclare le joueur qui jure de tout donner pour faire honneur au drapeau national.
Pour réaliser cet exploit, Zaha n’a pas de secret particulier. « Il faut se donner à fond à chaque match. Si nous jouons sur nos propres valeurs, nous n’aurons rien à craindre. Il faut donc qu’on fasse ce qu’on sait faire le mieux, c’est-à-dire jouer notre football », poursuit-il.
Après une petite brouille avec son entraîneur et son absence lors des dernières rencontres de la sélection, Wilfried Zaha est revenu à de meilleurs sentiments et veut gagner le trophée avec ses coéquipiers.
« Il faut y croire. Nous avons une finale à jouer le 20 janvier. Il faut la gagner. C’est tout », estime Wilfried Zaha qui s’explique difficilement le scénario rocambolesque de dimanche soir. « Mais c’est cela le football. La rencontre dure 90 minutes et il faut pouvoir rester concentré jusqu’au bout. Nous avons appris la leçon », promet la star de Crystal Palace. Depuis le début des hostilités dans le groupe E de Japoma, Wilfried Zaha est focus sur l’objectif du groupe. A savoir ramener la coupe en Côte d’Ivoire au soir de la 33e édition de la Can.
Entré en cours de jeu contre la Guinée équatoriale, il avait allumé les dernières mèches pour enflammer la cage adverse. Dimanche encore, le virevoltant ailier ivoirien a traduit dans les faits ses déclarations d’avant Can contre la Sierra Leone.
« Nous ne sommes pas là pour être cités parmi les favoris. Nous n’avons rien à envier toutes les équipes qui participent à ce tournoi. En 2019, en Égypte, nous nous sommes arrêtés en quarts de finale. Mais cette fois, avec l’équipe que nous possédons, si nous sommes vraiment concentrés, nous pouvons gagner. Cette Can au Cameroun est à notre portée. Nous n’avons peur d’aucune équipe », déclare le joueur qui jure de tout donner pour faire honneur au drapeau national.
Pour réaliser cet exploit, Zaha n’a pas de secret particulier. « Il faut se donner à fond à chaque match. Si nous jouons sur nos propres valeurs, nous n’aurons rien à craindre. Il faut donc qu’on fasse ce qu’on sait faire le mieux, c’est-à-dire jouer notre football », poursuit-il.
Après une petite brouille avec son entraîneur et son absence lors des dernières rencontres de la sélection, Wilfried Zaha est revenu à de meilleurs sentiments et veut gagner le trophée avec ses coéquipiers.
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