Football : Ronaldinho fait ses adieux dans un message émouvant (vidéo)

Après une brillante carrière, la légende du football a officiellement pris sa retraite. Comme tout héro, Ronaldinho a tenu à faire ses adieux à ses fans.

L’ancien joueur du  FC Barcelone a adressé un message émouvant à l’endroit de toutes les personnes qui l’ont soutenu pendant ses vingt ans de carrière.

« Merci mon Dieu, pour cette vie que tu m’as donnée, pour ma famille, mes amis et ma profession !!! Après trois décennies dédiées au football, je dis aurevoir à mon plus grand rêve, un rêve qui s’est réalisé !!! Pendant vingt ans, j’ai fait ce que j’aimais le plus professionnellement, sans oublier mes dix ans de formation. J’ai vécu de manière intense ce rêve d’enfant. Chaque instant, les voyages, les victoires, les défaites, les critiques, l’hymne national, le tunnel, le vestiaire, l’entrée sur le terrain, les crampons que j’ai utilisés, les bons et les mauvais ballons, les personnes avec qui j’ai jouées et ceux que j’ai seulement pu affronter sur le terrain , mais que j’admire encore aujourd’hui ! Tout a été incroyable ! Mon père et ma famille m’ont beaucoup soutenu pour que j’en arrive là, c’était un travail d’équipe. Nous sommes arrivés à la fin de ce premier cycle, avec une belle histoire à raconter… ».

?

« Vous me connaissez et vous savez que je suis quelqu’un de timide, je n’ai pas l’habitude de beaucoup parler, mais je vous remercie, de tout mon cœur et de toute mon âme, parce que j’ai fait ce que j’aime grâce à vous, les entraîneurs, les préparateurs physiques, toutes les fédérations, les dirigeants, les supporters de mon équipe et adverses, les chauffeurs, les équipementiers, les arbitres et la presse. Merci. Tous ensembles, nous avons construit cette histoire. Sans vous, rien n’aurait été possible », a-t-il écrit sur sa page Instagram.

L’on se souvient encore de ce Clasico entre le Real Madrid et le Barça (0-3) en 2005, le Brésilien, auteur d’un doublé, rendait là l’une de ses plus belles partitions. Lors de sa sortie, le public de Santiago-Bernabeu se levait même pour l’applaudir.