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« Notre souhait aujourd’hui est qu’on enlève, si possible, le pont du carrefour Akwaba pour revenir à la situation d’avant. Au moins, on avait moins d’embouteillages. »
Tâche accomplie. Il y a quelques jours, le camp militaire français de Port-Bouët, souvent désigné comme 43e BIMA d'après ce bataillon d'infanterie de marine établi en 1978, a officiellement été transféré sous contrôle ivoirien. Le 20 février, dans une chaleur écrasante et sous l'observation intense de six groupes de forces armées ivoiriennes et françaises, le drapeau de la Côte d'Ivoire a enfin été hissé au-dessus de cet endroit profondément symbolique.
Le pavillon ivoirien de couleur orange, blanc et vert est désormais hissé dans l'ancien site du 43e Bima à Port-Bouët. Les parties française et ivoirienne ont signé le procès-verbal de rétrocession ainsi que les engagements pour continuer le processus de transition.
Ce jeudi 20 février 2025, la France a officiellement rétrocédé sa base militaire située à Abidjan à l'armée ivoirienne. Le ministre français des Armées, Sébastien Lecornu, et son homologue ivoirien, Téné Birahima Ouattara, ministre d’Etat, ministre de la Défense, ont signé un protocole de transfert du 43e Bataillon d’infanterie de marine (43e BIMA), marquant ainsi la fin de la présence militaire française sur ce site.
La base militaire française située à Abidjan sera officiellement rétrocédée à la Côte d'Ivoire le 20 février prochain, lors d'une cérémonie à laquelle participeront les ministres de la Défense des deux pays, ont indiqué des sources proches du dossier à l'AFP.
Les premiers soldats ivoiriens du 43e Bataillon d’infanterie de marine (43e BIMA) prennent pied, ce lundi 20 janvier 2025, sur l’ex-base militaire française d’Abidjan, pour y stationner désormais.
Le gouvernement ivoirien a fait savoir qu’il ne souhaitait pas réagir aux récentes déclarations du président français Emmanuel Macron concernant la reconnaissance des pays africains envers la France.
En Côte d'Ivoire, le camp du 43e bataillon d’infanterie de marine de Port-Bouët, anciennement occupé par l’armée française, sera rétrocédé à l’armée ivoirienne ce mois-ci, comme l’a confirmé le président Alassane Ouattara lors de ses vœux du Nouvel An. L’annonce de ce départ des soldats français d’Abidjan suscite de vives inquiétudes parmi les commerçants des environs, notamment au village artisanal « 43e BIMA ».
À partir de janvier 2025, le camp de l'armée française du 43e BIMA, situé à Abidjan, sera officiellement rétrocédé aux Forces armées ivoiriennes. Il portera désormais le nom du général Ouattara Thomas d'Aquin, a annoncé le président ivoirien Alassane Ouattara lors de son discours de Nouvel An, diffusé sur les antennes de la radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) ce mardi soir.
Les discussions se poursuivent entre la Côte d’Ivoire et la France concernant le départ probable des militaires français du 43e Bataillon d’Infanterie de Marine (BIMa), stationnés à Abidjan, la capitale économique ivoirienne.
La police nationale ivoirienne a démenti formellement l'information selon laquelle une position de l'armée de l'air de Côte d’Ivoire à Bouaké aurait été " attaquée involontairement " par l'armée française ( 43è BIMA) faisant un bilan provisoire de deux soldats tués et quatre blessés.
Le départ du 43e Bataillon d'Infanterie de Marine (BIMA) de la Côte d'Ivoire marque un tournant significatif dans l'organisation des forces armées ivoiriennes.
On en sait un peu plus sur le drame survenu ce mercredi 10 juillet 2024 à la cité universitaire de Port-Bouët 2, en face de la caserne du 43e BIMA à Abidjan.
La desserte en eau potable pourrait connaitre des perturbations dans certaines zones d’Abidjan Sud ce mercredi 20 mars 2024 à partir de 9 heures, a annoncé dans une note, la direction de la maintenance de la Société de distribution d’eau en Côte d’Ivoire (SODECI).
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
L’ambassade de France en Côte d’Ivoire dément formellement les allégations faisant état de la présence de personnes contaminées au COVID-19 sur le camp de Port-Bouët des Forces Françaises en Côte d’Ivoire (FFCI).
Des patrouilles conjointes de sécurisation des forces ivoiriennes du groupement tactique inter-armées de Bouna et d’éléments du 43e bataillon d’infanterie de marine (BIMA) ont lieu, depuis lundi, dans la région du Bounkani.
Un accident de la circulation s’est produit, ce samedi après-midi, sur la grande de Bassam, au niveau du camp militaire français, ex 43e Bima.
Bredou M’bia a coulé les larmes au procès de Laurent Gbagbo, cet après-midi. Témoin de l’Accusation, l’ex-Dg de la Police a pleuré à gorge déployée pendant qu’il était interrogé par les avocats de Laurent Gbagbo.
Du 4 au 7 novembre 2004, l’armée française détruisait l’aéronef de l’armée ivoirienne. Et assassinait des Ivoiriens devant l’hôtel Ivoire, sur le pont de Gaulle et devant le 43e Bima.
