L'ex-président français Nicolas Sarkozy s'est vu notifier les modalités de son incarcération
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L'ex-président français Nicolas Sarkozy s'est vu notifier les modalités de son incarcération
L'ex-président français Nicolas Sarkozy s'est vu notifier les modalités de son incarcération
Le Conseil présidentiel libyen avait auparavant annoncé la formation d’un comité dirigé par la ministre de la justice Halima Abdel Rahman pour assurer le suivi du dossier Hannibal Kadhafi. Il a également ordonné la formation d’un comité de défense chargé d’assurer le suivi juridique de tous les dossiers de Kadhafi.
L’ancien président français, Nicolas Sarkozy, a été mis en examen vendredi 6 octobre 2023 dans l’enquête sur la rétractation de Ziad Takieddine concernant le financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007.
Il est devenu, lundi 1er mars, le deuxième ancien président de la République condamné sous la Ve République. Nicolas Sarkozy a été condamné à trois ans de prison, dont un ferme, lundi 1er mars, dans l’affaire dite des « écoutes ».
Le 14 avril, un convoi de 13 Français détenteurs de passeports diplomatiques et ayant en leur possession des armes et des matériels de renseignements a été stoppé à Ras Jedir, principal point de passage à la frontière entre la Libye et la Tunisie.
Le président français Emmanuel Macron va réunir mardi à Paris les principaux responsables libyens pour une conférence internationale destinée à organiser des élections dans ce pays plongé dans le chaos depuis 2011.
Revirement de situation dans l’affaire de financements libyens à Nicolas Sarkozy.
L'ancien président français, Nicolas Sarkozy, est renvoyé devant le tribunal correctionnelle pour "corruption" et "trafic d'influence" dans l'affaire dite des écoutes.
En Libye, le chef de la division d'investigation auprès du procureur général, à Tripoli, a confié à RFI avoir communiqué, à la justice française, les dépositions de trois hauts dignitaires libyens emprisonnés et interrogés dans le cadre de l'affaire d'un présumé financement libyen de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy, en 2007. L'ancien président français a été mis en examen la semaine dernière pour « corruption passive », « financement illégal de campagne électorale » et « recel de détournement de fonds publics libyens ». Des faits qu’il a toujours niés. Selon les juges français, ce sont les éléments d'enquête libyens, récemment versés au dossier, qui ont permis l'accélération de la procédure et la mise en examen de Nicolas Sarkozy.
« Il n'y a pas le plus petit commencement d'une preuve contre moi », a affirmé jeudi soir sur TF1 l'ancien président français Nicolas Sarkozy, qui est mis en examen par la justice française pour corruption de la part du régime Kadhafi. Nouveau témoignage ce matin, celui de Moftah Missouri, l'ancien interprète et conseiller du dictateur libyen. L'homme parle très peu. Aujourd'hui, sur RFI, il affirme que le document du site Mediapart est authentique. Surtout, il révèle qu'il existe peut-être un autre document qui peut nourrir le dossier d'accusation. L'ancien dignitaire libyen répond aux questions de Christophe Boisbouvier.
Thierry Herzog, l'avocat de Nicolas Sarkozy va faire appel du contrôle judiciaire imposé à l'ancien président, mis en examen mercredi dans l'enquête sur les soupçons de financement libyen de sa campagne victorieuse de 2007. Ce contrôle judiciaire lui interdit notamment de rencontrer les protagonistes du dossier.
L'audition de Nicolas Sarkozy a repris ce 21 mars dans les locaux de la police judiciaire de Nanterre, près de Paris, où l'ancien président français est interrogé sur des soupçons de financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007.
L’ancien chef de l’Etat a passé la nuit à son domicile avant de rejoindre, mercredi matin, les locaux de la PJ de Nanterre, pour son deuxième jour de garde à vue.
Nicolas Sarkozy est en garde à vue depuis ce mardi 20 mars au matin. La justice tient à l'entendre sur le présumé financement libyen de sa campagne de 2007 sur lequel elle enquête depuis 5 ans. Nicolas Sarkozy est le président français qui a permis à la Libye de Kadhafi de sortir de son isolement international.
Emmanuel Macron avait fait du dossier libyen sa priorité lors de sa visite à Tunis. Preuve supplémentaire de la volonté du président français de se poser en médiateur dans le dossier libyen : en marge de sa visite à Tunis, la semaine dernière, son ministre des Affaires étrangères a rencontré le président du conseil présidentiel libyen.
« Rapatrier tous les migrants de Libye » : l’objectif fixé au sommet Europe-Afrique est des plus complexes dans un pays en proie à l’anarchie, face à des réseaux organisés de trafiquants d’être humains et alors que les migrants sont difficiles à recenser.
L’animateur de RFI, Claudy Siar, panafricaniste engagé dans la lutte contre l’esclavage des migrants en Libye, n’en revient pas de la polémique que certaines personnes ont créée autour de son admiration de la décision du président Paul Kagamé d’accueillir 30 mille migrants sur son sol. Dimanche 26 novembre 2017, il a fait une mise au point sur cette affaire en répondant aux « idiots notoires » qui ont travesti ces propos et le pourfendent sur la toile.
Le président du Niger Mahamadou Issoufou a appelé lundi soir la Cour pénale internationale (CPI) à "se saisir du dossier" sur la vente de migrants africains comme esclaves en Libye.
La chaîne CNN a diffusé le 14 novembre une vidéo montrant des migrants noirs être vendus aux enchères pour 340 euros dans un quartier sud de Tripoli. La diffusion a provoqué l'émoi dans le monde entier. Sous pression, notamment internationale, le gouvernement basé à Tripoli a dû intervenir et a promis l'ouverture d'une enquête.