Féminicide en France : Lara, Camerounaise, poignardée par son ex petit-ami
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Féminicide en France : Lara, Camerounaise, poignardée par son ex petit-ami
H. Seck, en cavale depuis quatre ans après avoir tué son épouse F. Dia, a été arrêté à son retour dans son village natal de Kaba, en avril 2024.
Valeria Marquez, 23 ans, a été assassinée dans l'État de Jalisco, dans l'ouest du Mexique, pendant l’un de ses lives TikTok, où elle comptait près de 100 000 abonnés.
Il a été établi que le suspect a poignardé à mort Rebecca Mokoena le week-end après l’avoir prétendument trouvée avec un voisin sur leur lit conjugal alors que leur enfant de 3 ans dormait par terre dans la même pièce.
La police kényane a lancé mardi une "opération de sécurité importante" après l'évasion d'un suspect de meurtre en série, accusé de dizaines de femmes. Le 15 juillet, après la découverte de cadavres mutilés dans une décharge de la capitale, Nairobi, il avait été appréhendé et avait admis avoir assassiné 42 femmes.
Un père de famille de 33 ans, soupçonné d’avoir tué lundi soir sa femme et leurs quatre enfants à leur domicile à Meaux (région parisienne), a été interpellé mardi près des lieux du crime et souffre de troubles psychiatriques.Alertées par des proches des victimes, les forces de l’ordre sont intervenues lundi vers 21H00 dans l’appartement de cette famille, au rez-de-chaussée d’un immeuble d’habitation, a indiqué, mardi, le procureur de Meaux, Jean-Baptiste Bladier, devant la presse, relevant que des traces de sang étaient visibles sur le palier.
L'affaire défraie la chronique dans la ville de Dschang depuis quelques jours.
Le consortium des organisations de la société civile (Osc) des femmes a appelé, ce mercredi 15 mars 2023, à une forte implication des acteurs politiques dans la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) en vue de l’éradication de ce phénomène, lors d’une cérémonie à Abidjan.
Une fillette âgée de seulement 7 ans du nom de Xivono Ndlovu a connu une mort atroce dans les mains d’un homme impitoyable qui l’a v*olée et assassinée en Afrique du Sud.
L’entreprise de téléphonie mobile MTN, sponsor premium du concours de beauté Miss Côte d’Ivoire a été interpelée après la diffusion d’une émission sur une chaîne ivoirienne concernant le viol. Elle a réagi en promettant des « mesures fermes ».
Stupéfaction en indignation en Côte d'Ivoire. Lundi, sur la Nouvelle chaîne ivoirienne (NCI, privée), l’animateur Yves de M’Bella anime une émission censée dénoncer le viol. Pour mal commencer, il reçoit comme invité un homme présenté comme un « ex-violeur ». Au cours de l’émission, il est demandé au criminel présumé d’expliquer comment il agressait ses victimes. Afin de mieux illustrer ses propos, l’animateur met à sa disposition un mannequin qu’il l’aide à allonger au sol en riant. Il l’incite alors à expliquer avec de nombreux détails comment il s’y prenait pour abuser de sa victime.
Féminicide,traditions, viol et inceste. Les faits se déroulent dans différentes contrées du monde chaque jour. Des femmes battues et violentées est devenu un fait presqu'anodin et normal.
L'Italie fait face à une nouvelle conséquence de la crise du coronavirus. Le confinement aggrave les risques de violences conjugales en raison de ce que les Italiens appellent la « cohabitation forcée ». La Sicile a ainsi vu un drame du confinement se dérouler mardi au sein même de la communauté médicale.
L'Italie fait face à une nouvelle conséquence de la crise du coronavirus. Le confinement aggrave les risques de violences conjugales en raison de ce que les Italiens appellent la « cohabitation forcée ». La Sicile a ainsi vu un drame du confinement se dérouler mardi au sein même de la communauté médicale.
En France, plus de cent femmes sont tuées chaque année par leur conjoint, leur mari ou leur ex-compagnon. Le 30 janvier, les aveux du mari d'Alexia Daval, 29 ans, retrouvée morte en octobre dans un bois en Haute-Saône, ont relancé un débat juridique autour de la notion de « féminicide », qui désigne selon l’Organisation mondiale de la santé « tout meurtre de filles ou de femmes au simple motif qu’elles sont des femmes ». Alors que le droit pénal français refuse de consacrer le féminicide, de nombreux pays d’Amérique latine ont depuis longtemps intégré ce concept.