La HCC s’est appliquée à expliquer sa décision, hier.Selon la Haute Cour Constitutionnelle, la castration chimique ne correspond pas à l’objectif du législateur de neutraliser définitivement les prédateurs sexuels et de diminuer les risques de récidive. Elle opte ainsi pour la castration chirurgicale qui permettrait de se conformer aux principes des droits humains.