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Ils décapitent un bossu et se font arrêter 4 ans plus tard

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Ils décapitent un bossu et se font arrêter 4 ans plus tard

Comment peut-on qualifier un tel faits qui vient de se produire ? Un homme a froidement décapiter un bossu au Togo, cet acte peut nous pousser à s'interroger sur les véritables intension de ce dernier.

La gendarmerie togolaise a mis la main les 12 et 13 octobre derniers sur 4 trafiquants d’organes humains. Il s’agit des nommés L. Yendouban (33ans), G. Idrissou (39 ans), K. Nakordja (26 ans) et F. Ibrahim, tous de nationalité togolaise. Ces malfaiteurs ont ôté la vie à un bossu et vendu sa bosse à un béninois.Les faits se sont produits en septembre 2016 à Korbongou, dans le grand Nord-Togo.

En effet, le 26 septembre 2016, la brigade de Korbongou a été alertée par certains riverains de la découverte d’un colis suspect flottant sur la rivière Obiagou dans le canton de Korbongou. La fouille a permis de découvrir le corps mutilé d’un homme non identifié soigneusement emballé dans un sac en toile de jute.Cependant , les parents de la victime demeurant à Ogaro (P/Kpendjal) se sont présentés à la brigade de Korbongou et déclarent reconnaitre le corps amputé de sa bosse comme étant celui de leur fils disparu le 15 septembre 2016.

 Apres L’enquête ouverte d’arrêter 4 ans plus tard les nommés L. Yendouban (33ans), G. Idrissou (39 ans) et K. Nakordja (26 ans) le 12 octobre 2020. Le quatrième individu, F. Ibrahim a été interpellé le 13 octobre 2020. Les prévenus ayant reconnu les faits déclarent être au service d’un client béninois  qui leur a demandé une bosse humaine en contrepartie d’une forte somme d’argent.Les malfaiteurs sont membres d’un réseau de sept (07) malfaiteurs dont deux (02) déjà décédés. Le 5ème complice, de nationalité Burkinabè est activement recherché.La gendarmerie nationale assure que les interpellés seront mis à la disposition de la justice pour répondre de leur  acte.

On note aussi celui   d’un homme d’une quarantaine d’années qui  a été retrouvé jeudi dans une rue d’Adakpamé (banlieue-Est de Lomé). En effet, la famille et proches ont aussitôt accusé des membres de la Force anti-Covid-19; des gendarmes et des policiers chargés de faire respecter le couvre-feu, d’être à l’origine du décès. Sans aucune preuve.


L’enquête a débuté et a livré ses premiers éléments.‘Il s'agit d'un acte crapuleux suffisamment grave qui mérite d’être très rapidement élucidé', a déclaré vendredi soir Damehame Yark, le ministre de la Sécurité.


L’examen du corps a révélé des hématomes sur l’ensemble du corps laissant supposer des sévices corporels au moyens d’un bâton', indique le ministre.


Des instructions ont été données pour que les investigations permettent de retrouver dans les plus brefs délais les auteurs de cet assassinat.


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