En collaboration avec la Konrad-Adenauer-Stiftung, ils se sont réunis dans un complexe hôtelier de Grand-Bassam pour réfléchir sur les moyens à employer pour atteindre leurs objectifs.
Durant trois (3) jours, à compter du 28 juillet 2020, ils travailleront sur la thématique : « La situation des jeunes en Côte d’Ivoire : état des lieux et propositions pour l’amélioration de la condition de la jeunesse ».
Pour Soloman Sanogo, président du Cojeda, il faut que le paradigme change parce que les jeunes ne doivent plus être vus par le politique comme des abonnés des actions de rue au point de les considérer comme des professionnels dans l’exercice de la violence.
« Nous devons être une force de proposition et peser de tout notre poids démographique dans la gouvernance et la prise de décision par des démarches légalistes qui imposent le respect et la considération de la part des gouvernants », précise-t-il. Avant d’exhorter l’ensemble des participants, sans tenir compte de leurs clivages politiques, à une profonde réflexion sur les différents thèmes qui sont, entre autres, « La jeunesse ivoirienne : défis et perspectives » ; « Quelles stratégies à mettre en œuvre pour une insertion durable et un emploi décent pour les jeunes ? » afin de sortir des propositions concrètes.
Le Représentant résident de la Konrad-Adenauer-Stiftung, Florian Karner, partenaire principal de la rencontre a tenu à saluer l’initiative de la jeunesse à travers le Cojeda. Car représentant 77% de la population nationale, elle devait pouvoir s’imposer aux différents projets de société des candidats.
C’est pour cette raison qui souhaite que cette académie politique aide les jeunes à prendre leur destin en main en faisant des propositions concrètes aux différents candidats. Parce qu’ils ne doivent plus servir de faire valoir mais être des personnes pétries de savoir et ayant une vision claire de la vie afin que les acteurs politiques viennent les courtiser.
Florian Karner a profité de la rencontre pour appeler tous les jeunes ivoiriens au respect des institutions de la République en mettant tout en œuvre pour des élections apaisées.
Durant trois (3) jours, à compter du 28 juillet 2020, ils travailleront sur la thématique : « La situation des jeunes en Côte d’Ivoire : état des lieux et propositions pour l’amélioration de la condition de la jeunesse ».
Pour Soloman Sanogo, président du Cojeda, il faut que le paradigme change parce que les jeunes ne doivent plus être vus par le politique comme des abonnés des actions de rue au point de les considérer comme des professionnels dans l’exercice de la violence.
« Nous devons être une force de proposition et peser de tout notre poids démographique dans la gouvernance et la prise de décision par des démarches légalistes qui imposent le respect et la considération de la part des gouvernants », précise-t-il. Avant d’exhorter l’ensemble des participants, sans tenir compte de leurs clivages politiques, à une profonde réflexion sur les différents thèmes qui sont, entre autres, « La jeunesse ivoirienne : défis et perspectives » ; « Quelles stratégies à mettre en œuvre pour une insertion durable et un emploi décent pour les jeunes ? » afin de sortir des propositions concrètes.
Le Représentant résident de la Konrad-Adenauer-Stiftung, Florian Karner, partenaire principal de la rencontre a tenu à saluer l’initiative de la jeunesse à travers le Cojeda. Car représentant 77% de la population nationale, elle devait pouvoir s’imposer aux différents projets de société des candidats.
C’est pour cette raison qui souhaite que cette académie politique aide les jeunes à prendre leur destin en main en faisant des propositions concrètes aux différents candidats. Parce qu’ils ne doivent plus servir de faire valoir mais être des personnes pétries de savoir et ayant une vision claire de la vie afin que les acteurs politiques viennent les courtiser.
Florian Karner a profité de la rencontre pour appeler tous les jeunes ivoiriens au respect des institutions de la République en mettant tout en œuvre pour des élections apaisées.
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