Le 10 octobre, le chef de la junte nigérienne, le général Abdourahamane Tiani, a signé un décret retirant provisoirement leur nationalité nigérienne à neuf personnes liées à l'ancien président Mohamed Bazoum, qui a été renverséen juillet 2023 et reste détenu arbitrairement. Le décret est basé sur une ordonnance antérieure instituant une base de données de personnes soupçonnées de terrorisme.