Faux profil, vrai drame : cyber-escroquerie et chantage à Abidjan
il y a 5 heures
56 Lectures
0 Commentaires
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Faux profil, vrai drame : cyber-escroquerie et chantage à Abidjan
P.K. est accusé d’avoir filmé sa petite amie, Mlle Véronique G., nue sans son consentement et d’avoir menacé de diffuser les images en ligne après une dispute.
Trois cybercriminels présumés ont été appréhendés par les agents de l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC), basé à Parakou. Les individus ont été trouvés dans une cafétéria près d’une zone connue pour des activités illicites.
Après l’expression « go » pour designer une petite amie, un nouveau mot issu du jargon ivoirien fait son entrée dans le dictionnaire. Le Petit Robert a intégré à sa liste de nouveau mots au titre de l’an 2022, le mot « brouteur ».
Comme on le dit dans le mouvement Coupé Décalé, » ces enfants ont un gros cœur ». Entendez par la que ces jeunes ne connaissent pas la peur. Ils sont prêts à tout pour se faire de l’argent afin de se faire plaisir.
Telle est la folle rumeur qui circule dans le milieu du showbiz ivoirien depuis plusieurs heures. Selon certains proches et amis du célèbre boucantier, le Commissaire 5500 aurait été arrêté par les forces de l’ordre ivoiriens et déféré devant le parquet. Une information chaude avec un goût de surprise qui a vite fait chemin dans différents espaces de la ville d’Abidjan.
La cyber-police de BKC en Inde a arrêté vendredi trois ressortissants africains, dont un nigérian et deux ivoiriens. Ces trois africains sont coupables d’avoir piraté le courrier électronique du membre de Rajya Sabha, Husain Dalwai (Congrès) et envoyé un courrier électronique SOS à toutes les personnes qu’il contactait, demandant une aide financière immédiate pour le traitement de sa fille comme ils sont à l’étranger.
Quatre individus suspectés de pratiquer la cybercriminalité ont été mis à la disposition de la Plateforme de Lutte contre la Cybercriminalité, par la brigade de gendarmerie de Jacqueville. C'était le lundi dernier 4 juin 2018.
Au lieu de verser une prime de 1000 wons, soit 0,78 euro, un comptable de Samsung Securities a transféré 1000 actions du groupe aux 2000 salariés, soit l'équivalent de 85 milliards d'euros. 16 d'entre eux ont aussitôt vendus ces titres. Le régulateur coréen a lancé une enquête pour savoir s'il s'agit d'un "erreur de frappe", d'un bug ou d'un nouveau genre de cyber-escroquerie.
La PLCC a été saisie par l'ambassade d'Espagne en Côte d'Ivoire car l'un de leur ressortissant était victime d'une cyber escroquerie en provenance de Côte d'Ivoire. C'est suite à cela que le nommé Aka Ehouma Marcel alias « Ange Mariphe » a été interpellé après des enquêtes en compagnie de son ami Tokore Nadié Dieudonné alias « Ambra Angelotti » dans la commune de Koumassi. Ils ont tous deux été mis à la disposition des autorités compétentes.
K. Edith Marcelle, caissière dans une agence de transfert d’argent de la place, à été déféré, le 07 avril, au Parquet d’Abidjan-Plateau, après son arrestation, à Cocody par les agents de la plateforme Lutte contre la cybercriminalité (Plcc).
Il n’aura pas eu assez de temps pour mettre à exécution sa sale besogne. Ahuissi Ange est un cybercriminel de 21 ans qui, selon lui, vient de commencer le métier, il y a seulement deux semaines.
Suite à une information anonyme, Diarra Adama Cherif alias «Christine Vilanoeva» et Boua Amoakon Daniel Gerald alias «Viviane Mercier» ont été interpellés par la Plateforme de Lutte Contre la Cybercriminalité (PLCC). C'était dans la commune de Cocody, le 09 janvier 2017. Ils sont suspectés d’être des cyber-escrocs.
Un autre cyberdélinquant est tombé dans les mailles de la Plateforme de lutte contre la cybercriminalité (Plcc). Il s’agit de Koné Yaya Ben Junior alias «Serge Mario». Il a été interpellé le mardi 7 juin 2016, à son domicile à Yopougon-Niangon à la cité CIE, par les agents de la Plateforme.
