Le porte-parole des Forces armées de la RDC (FARDC), le général-major Sylvain Ekenge, a annoncé samedi 22 novembre l’interpellation de nombreux officiers supérieurs militaires.
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Le porte-parole des Forces armées de la RDC (FARDC), le général-major Sylvain Ekenge, a annoncé samedi 22 novembre l’interpellation de nombreux officiers supérieurs militaires.
Huit militaires jugés pour humiliations d’une citoyenne allemande
Congo : Braquage avorté à Rawbank/Victoire - Kinshasa secouée par une attaque audacieuse
RDC : le Sud-Kivu frappé par des drones
Ce lundi 19 mai 2025, des clashes violents ont eu lieu entre les Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC) et les membres du groupe armé Zaïre, aux abords du village de Jina, à peu près 35 kilomètres de Bunia, dans la zone de Djugu.
Lors de la progression du M23 et de la conquête de Goma en janvier, des centaines d'agents militaires, policiers et miliciens congolais avaient cherché asile dans les camps des Casques bleus.
Le retrait des troupes de la Communauté de développement de l'Afrique australe (SADC) de Goma a commencé ce mardi 29 avril 2025. Depuis plusieurs mois, cette cité située à l'est de la République Démocratique du Congo est le théâtre de violents conflits.
Les négociations qui avaient débuté à Doha entre le gouvernement du Congo et les insurgés du M23 ont connu une interruption abrupte ce mardi 22 avril. Le groupe armé, sous la conduite de Bertrand Bisimwa, a quitté le Qatar pour se rendre à Goma. Malgré de multiples discussions directes entre les deux parties, aucun accord n'a été établi.
Dans la République Démocratique du Congo, toutes les activités politiques du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) ont été mises en pause par le gouvernement.
unia, qui est le chef-lieu de la province de l'Ituri, fait face régulièrement à des attaques de groupes armés tels que les Forces démocratiques alliées (ADF).
Bunia, située près du lac Albert et de l'Ouganda dans la province de l'Ituri, est fréquemment ciblée par des attaques menées par des groupes armés, en particulier le M23 et les rebelles ougandais des Forces Démocratiques Alliées (ADF).
17 février 2050« Suite à l'intervention de l'armée rwandaise et de ses alliés à Goma, au Nord-Kivu, une saturation des hôpitaux a été constatée avec plus de 3 068 blessés présentant une insuffisance en ressources humaines et autres mesures médicales. »
Imaginez : des jeunes, comme vous et moi, qui se battent pour protéger leur pays. C'est l'histoire des Wazalendo, des groupes de jeunes du Nord-Kivu, en République démocratique du Congo (RDC).
Le Conseil supérieur de la défense de République Démocratique du Congo a formulé sa requête contre des militaires qui se rendraient coupables de ‘'trahison'' dans la guerre qui oppose l'armée congolaise FARDC aux rebelles du M23, dans la province du Nord-Kivu.
L'armée rwandaise a confirmé que mardi à l’aube, elle a abattu un soldat congolais armé et en a arrêté deux autres après qu'ils ont tenté de pénétrer sur le territoire rwandais.
Six militaires des Forces armées de la République démocratique du Congo ont été arrêtés mardi pour meurtre de quatre civils à Mangina, une cité du territoire de Beni au Nord-Kivu, dans l’est du pays, selon une source militaire. « Six (06) militaires des FARDC viennent d’être arrêtés à Mangina sur ordre du commandant secteur opérationnel Sokola 1 grand Nord.
Les Forces armées de la République démocratique du Congo (RDC), ont indiqué mercredi, dans un communiqué parvenu à l’ACP, qu’un groupe de « bandits armés » soi-disant «Wazalendo», ont semé le chaos mercredi à Goma, au Nord-Kivu, faisant 7 morts , dont 1 policier et 6 adeptes.
Une secte appelait à protester contre l’ONU. L’armée ne lui en a pas laissé le temps, attaquant son local et arrêtant son leader.
Après avoir demandé la réévaluation du calendrier du retrait progressif de la mission onusienne, le gouvernement congolais a officiellement demandé le départ du porte-parole de la Monusco Mathias Gillmann, qu’il accuse, dans une interview accordée à RFI, d’avoir envenimé la situation. Une correspondance officielle a été envoyée à la Monusco pour signifier la position des autorités congolaises.
Après qu’un soldat en état d’ivresse a tué 8 personnes, trois militaires et cinq civils, dimanche en Ituri, la société civile s’inquiète de la récurrence des cas de tueries perpétrées par des militaires en état d’ivresse ou sous un choc émotionnel. Un phénomène de plus en plus récurrent depuis que les provinces du Nord-Kivu et de l’Ituri ont été placées sous état de siège.