Des rumeurs d'une déstabilisation de la Côte d'Ivoire attribuée à l'ancien président de l'Assemblée nationale, Guillaume Soro, a fait réagir, ce samedi 4 mai 2024,son Directeur de la Communication, Moussa Touré.
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Des rumeurs d'une déstabilisation de la Côte d'Ivoire attribuée à l'ancien président de l'Assemblée nationale, Guillaume Soro, a fait réagir, ce samedi 4 mai 2024,son Directeur de la Communication, Moussa Touré.
Le nouveau président du Parti démocratique de Côte d‘Ivoire (PDCI, opposition), Tidjane Thiam, entend « remettre le PDCI au pouvoir », dans un message de vœux pour l’année 2024.
Débutée le 8 novembre 2021 pour prendre fin le 28 novembre et repoussée au 7 décembre, l’opération de Recensement général de la population et de l’habitat (Rgph) est de nouveau prorogée jusqu’au 14 décembre 2021.
Une tentative de manifestation d’un groupe d’ex-combattants de la cellule 39 démobilisés qui revendique 18 millions de francs CFA au gouvernement ivoirien, a été dispersée, lundi, à Bouaké par les forces de l’ordre.
Vice-président du Front Populaire Ivoirien en charge de la politique de la jeunesse et vice-président de la Coordination du FPI en exil, Damana Pickass, a aussi réagi aux accusations de déstabilisation de la Côte d’Ivoire portées contre lui par le régime Ouattara.
La vague d’arrestation se poursuit à Bouaké. Hier, deux autres démobilisés ont été arrêtés. Ce qui fait le nombre à 4. Le gouvernement a indiqué par la voix de son porte-parole que la justice sera rendue pour éviter toute répétition.
Deux leaders des anciens rebelles démobilisés, qui ont brièvement bloqué dimanche une entrée de Bouaké, la deuxième ville de Côte d'Ivoire, ont été inculpés et emprisonnés mardi, a appris l'AFP de source judiciaire.
Diomandé Mégbê, porte-parole principal des démobilisés de Bouaké et Amadou Ouattara, son adjoint sont aux arrêts depuis lundi. La raison, c’est la manifestation du dimanche dernier qui a fait suite aux réunions dans les environs du corridor-nord de Bouaké qui est devenu leur nouveau quartier général (Qg).
D'anciens rebelles démobilisés ont bloqué dimanche matin l'entrée nord de Bouaké, la deuxième ville de Côte d'Ivoire située dans le centre, avant d'être dispersés par la police à coup de grenades lacrymogènes, a constaté un journaliste de l'AFP.
Dans le souci de désamorcer le soulèvement des démobilisés, Amadou Soumahoro, secrétaire général du Rassemblement des républicains (RDR) a échangé avec une délégation de ces démobilisés.
Les ex-combattants démobilisés qui se sont soulevés récemment ont présenté des excuses au président Alassane Ouattara. Ex-collaborateur de feu sergent Ibrahim Coulibaly dit IB, Doumbia Major a réagi à cette énième de demande de pardon de mutinés ou de révoltés au chef de l’Etat il dénonce une mise en scène contre-productif.
Les démobilisés ont demandé «pardon », ce mercredi 31 mai 2017, au chef de l’Etat pour «être allés trop loin ». Ils disent avoir trouvé un «accord» avec le gouvernement sans toutefois en donner le contenu. « On a décidé de tout arrêter et de ne plus faire de manifestation de mécontentement», a indiqué Ouattara Amadou, porte-parole adjoint des démobilisés au cours d’une conférence de presse à la mairie d’Adjamé.
« On a décidé de rentrer dans les rangs de respecter l’autorité de l’Etat .On a expliqué en long et en large tous nos problèmes au ministre d’Etat, ministre de l’intérieur et de la sécurité, Hamed Bakayoko, qui dit avoir bien compris nos difficultés »,
« Nul ne peut ôter la vie impunément à son semblable quel qu’en soit les raisons », clame l’Association pour la promotion des droits humains (Apdh).
Une délégation de démobilisés de Tengréla a rencontré le préfet du département, Diomandé Cyrille Ambroise, afin de lui présenter des revendications.
Le porte-parole d'un groupe d'ex-combattants démobilisés de Côte d'Ivoire, Diomonde Megbé, est libre.
Des responsables de la Coordination des démobilisés de Gagnoa ont échangé ce mercredi avec la presse, au sujet de l’actualité du moment.
Le porte parole du gouvernement ivoirien, le ministre de la Communication, de l’économie numérique et de la poste, Koné Bruno a indiqué, mercredi, à l’issue du conseil des ministres, qu’un accord n’avait pas été conclu entre les démobilisés et le gouvernement, contrairement aux rumeurs disséminés en Côte d’Ivoire.
Depuis le 19 septembre 2002, la rébellion qui a endeuillé et traumatisé la Nation ivoirienne se poursuit à travers le pays sous forme de mutineries et autres mouvements de violence orchestrés par des ex combattants à la solde de M. Alassane Ouattara.
Apparemment, les ex-combattants démobilisés digèrent mal la mort de leurs camarades, hier mardi 23 mai à Bouaké. Se sentant trahis par le pouvoir qui désormais les tue, à en croire l’Adjudant Zinzin, les ex-combattants comptent poser un acte ultime.