Yémen: Les Houthis détiennent 20 employés des Nations Unies
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Yémen: Les Houthis détiennent 20 employés des Nations Unies
Yémen : le chef d’état-major des Houthis a été éliminé dans une frappe israélienne, annonce le mouvement
Lors d'une conférence de presse, l'Iran a réfuté toutes les accusations le tenant pour responsable de l'attaque sur l'aéroport international de Tel-Aviv dimanche, les qualifiant sans fondement.
Des responsables ont déclaré mercredi matin que l'armée britannique avait initié des bombardements aériens en collaboration avec les États-Unis contre les rebelles houthis du Yémen. C'est leur première implication dans la nouvelle campagne américaine virulente visant ce groupe appuyé par l'Iran.
Les ministres français des Armées et des Affaires étrangères sont ce jeudi à Djibouti.
Deux missiles balistiques ont été tirés depuis des zones contrôlées par les Houthis au Yémen en direction d’un navire américain, l’USS Mason, a annoncé dimanche soir le commandement central américain (CENTCOM).
Les rebelles yéménites houthis ont mené une nouvelle attaque sur le territoire saoudien voisin. Le bombardement de l'aéroport civil d'Abha a fait un mort et sept blessés, dimanche 23 juin, alors que le contexte de sécurité régionale est de plus en plus tendu.
Au moins 6 civils ont été tués et des dizaines blessés ce matin à Sanaa, la capitale du Yémen tenue par les rebelles houthis. La coalition menée par l'Arabie saoudite a mené une série de raids aériens en représailles à des attaques contre ses installations pétrolières.
« C’est l’une des armes les plus puissantes vendues par la France à l’Arabie saoudite : le Caesar. Produit par l’entreprise Nexter, détenue à 100 % par l’État, ce canon monté sur un camion tout-terrain est aujourd’hui suspecté de faire feu sur des zones habitées par des centaines de milliers de civils au Yémen (lire notre premier article). L’État français, bien que parfaitement au courant des risques, poursuit ses livraisons. Pas moins de 147 canons devraient être expédiés vers le royaume saoudien d’ici à 2023.
Une enquête publiée ce 7 février par Amnesty International appuie celle diffusée en début de semaine par la chaîne américaine CNN. Selon ces deux rapports, les Emirats Arabes Unis fourniraient des véhicules blindés, systèmes de mortier et autres armes de production occidentale aux milices yéménites soutenues par la coalition menée par l'Arabie saoudite. Certaines d'entre elles sont notamment liées à al-Qaïda.
Des négociations sur la crise yéménite se sont ouvertes mardi 5 février à Amman, en Jordanie, en vue de parvenir à un échange de plusieurs milliers de prisonniers au Yémen. Cet échange de prisonniers entre l’armée gouvernementale, soutenue par une coalition dirigée par l’Arabie saoudite, et les forces houthies, proches de l’Iran, se heurte au fait que le sort de nombreux combattants reste incertain.
La ville portuaire de Hodeida, au Yémen, est le théâtre de combats particulièrement meurtriers ce lundi. Au moins 110 rebelles, 32 loyalistes et sept civils ont été tués ces dernières 24 heures.
Le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) exhorte les parties en conflit au Yémen à arrêter les hostilités, et décrit un « enfer sur terre » pour les enfants, frappés par la famine. Les Nations unies ont appelé les belligérants à s'asseoir à la table des négociations dans un délai d'un mois, après avoir tenté sans succès en septembre d'organiser des pourparlers de paix à Genève. Sur le terrain, les combats se sont intensifiés depuis jeudi.
Selon une note de l'ONU, jusqu'à quatorze millions de personnes pourraient souffrir de la famine au Yémen dans les mois à venir.
Le contrat avait été suspendu il y a une semaine pour des raisons humanitaires. Les socialistes au pouvoir à Madrid depuis le mois de juin redoutaient que ces armes soient utilisées par l'Arabie saoudite contre des civils dans la guerre au Yémen. Aussitôt, Riyad avait menacé d’annuler un contrat beaucoup plus important, comprenant l’achat de cinq navires de guerre pour un montant de 1,8 milliard d'euros.
Les combats ont repris et fait des dizaines de morts et de blessés autour d’Hodeida, ville portuaire stratégique, selon des sources médicales. Les victimes seraient tant des combattants progouvernementaux que rebelles.
Les Etats-Unis ont demandé une enquête «approfondie» après la mort de 29 enfants dans l'attaque de leur bus, survenue jeudi dans le nord du Yémen. Elle est attribuée à la coalition menée par l'Arabie saoudite.
Au Yémen, une attaque meurtrière a eu lieu ce jeudi matin et a été attribuée à l'Arabie saoudite. Cela s'est passé en zone rebelle, dans le nord du pays. Des frappes qui ont fait 29 morts dont la plupart sont des enfants âgés de 10 à 14 ans, et 48 blessés. C'est le dernier bilan donné par le CICR, le Comité international de la Croix rouge, qui soutient un hôpital dans le secteur, à Saada, et qui recueille les victimes.
Les forces progouvernementales yéménites annoncent avoir lancé l'assaut sur le port stratégique de Hodeida (ouest), tenu par les rebelles houthis. Cette offensive est appuyée par la coalition arabe en guerre au Yémen depuis plus de trois ans.
Jusqu'au début 2018, seul le Soudan avait accepté d'envoyer des militaires combattre avec la coalition dirigée par l'Arabie saoudite qui se bat depuis plus de trois ans contre les Houthis. Le régiment soudanais composé essentiellement d'hommes de la milice Janjawid est aujourd'hui littéralement décimé. Et face au manque d'hommes, le royaume saoudien et les Emirats arabes unis ont demandé depuis plusieurs mois de l'aide à d'autres pays du continent.