Tensions post-électorales : la circulation des mototaxis interdite dans plusieurs grandes villes du Cameroun
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Tensions post-électorales : la circulation des mototaxis interdite dans plusieurs grandes villes du Cameroun
À neuf mois de l'élection présidentielle en Côte d'Ivoire, les tensions politiques sont palpables, notamment autour du discours identitaire et de la révision de la liste électorale.
La Côte d’Ivoire s’apprête à vivre des élections présidentielles en octobre 2025. L’enjeu de ce scrutin suscite, déjà à un an de l’échéance, de vifs remous au sein de l’opinion publique et de la classe politique ivoirienne.
Des partisans d’un camp perdant aux élections municipales à Madinani, mécontents après la proclamation des résultats ont manifesté violemment, caillassant un véhicule de la gendarmerie et blessant un responsable sécuritaire.
Le Premier ministre, Patrick Achi a procédé, jeudi 16 décembre 2021, à l’ouverture du dialogue politique avec l’ensemble des leaders politiques ivoiriens à la Primature.
La députée de Cocody, Yasmina Ouégnin, a appelé, samedi 20 novembre 2021, à sa permanence de Cocody à Abidjan, à l’implication de tous les concitoyens, en faveur du bien-être des enfants, en les aidant à avoir de bons repères et de bonnes assurances leur permettant de grandir dans de bonnes conditions.
Plus de 8000 ivoiriens ont quitté la Côte d'Ivoire pour se réfugier dans des pays voisins dans un contexte de tensions politiques liées à l'élection présidentielle du 31 octobre dernier, selon le Haut commissariat des Nations-Unies pour les réfugiés ( UNHCR) dans une note d'information diffusée sur son site internet officiel consulté mercredi par APA.
Les tensions dues à l’élection présidentielle continuent de peser sur la ville de Taï malgré les rencontres des autorités administratives et politiques avec les populations pour ramener le calme et la sérénité
L’Agence des Nations Unies pour les réfugiés (HCR) a indiqué, mardi 3 novembre 2020, que « quelque 3.200 ressortissants de la Côte d’Ivoire ont afflué vers les pays voisins, pour fuir les violences post-électorales qui ont éclaté dans le pays », dans un communiqué publié sur le site de l’ONU.
« Un scrutin non inclusif et boycotté qui laisse un pays fracturé. » Telle est la conclusion de la déclaration préliminaire de la Mission internationale d’observation électorale (MIOE) conjointe de l’Institut électoral pour une démocratie durable en Afrique (EISA) et du Centre Carter (TCC). Selon la MIOE, cette déclaration prend en compte tous les aspects du processus électoral, jusqu’au 2 novembre 2020, alors que le processus électoral suit toujours son cours.
La cellule de veille électorale de la mission d'observation WANEP-Côte d’Ivoire a estimé dans une déclaration lue par la coordinatrice nationale Soro Mylène que l'élection présidentielle d’octobre 2020 a été émaillée de violences par endroits.
L'ex-ministre ivoirien des Affaires étrangères Marcel Amon Tanoh, dont la candidature a été rejetée, craint que la présidentielle du 31 octobre en Côte d'Ivoire ne débouche sur une crise post-électorale comme en 2010-2011 et revient sur son passé commun avec Alassane Ouattara.
L'AFD et LMP, deux plate-formesalles de l'opposition ivoirienne, ont annoncé mardi dans une déclaration conjointe la suspension de leurs représentants à la Commission électorale indépendante (CEI), institution chargée d'organiser l'élection présidentielle du 31 octobre 2020.
Marcel Amon-Tanoh, un collaborateur de Alassane Ouattara depuis 26 ans et candidat à la présidentielle ivoirienne du 31 octobre 2020, estime qu'« un dialogue est encore possible » face aux velléités de l’opposition pour éviter une crise post-électorale.
Dans une tribune intitulée "le temps du désohonneur" transmise aux médias, le président du Front populaire ivoirien (FPI) Pascal Affi N'Guessan jette un regard critique sur l'actualité sociopolitique de ces derniers jours en Côte d'Ivoire. Il met en garde contre le "risque désormais tangible" que court le pays et demande au président Alassane Ouattara de renpncer à sa candidature dans la course à la prochaine présidentielle. Ci-dessous, l'intégralité de la tribune.
Le photographe de l'AFP Marco Longari a couvert les émeutes qui ont suivi l'annonce des résultats de l'élection présidentielle.