
L’affaire a éclaté à la suite d’une enquête de la Sûreté urbaine (SU), déclenchée par la publication sur Facebook d’annonces à caractère sexuel, proposant des prestations tarifées.
À la tête du réseau, révèle Libération, R. Barry recrutait et employait trois autres jeunes femmes. F. Diatié, l'une d’elles, était chargée de répondre aux clients par téléphone. Le tarif d’une prestation était fixé à 5 000 FCFA.
Lors de la perquisition menée dans l’appartement loué à Ouakam, les enquêteurs ont saisi de nombreux préservatifs, neufs et usagés ainsi que plusieurs téléphones portables utilisés pour la gestion des contacts avec la clientèle, glisse la même source.
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