Jules Boka a indiqué que son organisation est solidaire des chauffeurs de taxis compteurs en grève relativement aux taxes qu’ils jugent trop élevées.
Il a donc souligné que le mécontentement des grévistes ne devrait pas être dirigé contre les membres de son association. Surtout que ce sont « 4 000 à 5 000 véhicules qui sont dans ce mode de transport et qui donnent du travail à environ 10 000 jeunes abidjanais », selon lui.
Pour lui, tout doit être mis en œuvre afin que les négociations entre les grévistes et le gouvernement connaissent un dénouement consensuel et heureux. Le premier responsable du Synavtci a aussi appelé ses membres à ne pas répondre aux provocations.
En outre, Jules Boka a interpellé les autorités, notamment le ministre-gouverneur du district autonome d’Abidjan, afin que les violences cessent à l’encontre des chauffeurs de Vtc. Il n’a pas manqué de souligner sa foi dans la capacité et la volonté des autorités à ramener le calme et la sérénité dans le secteur des chauffeurs de taxis en général.
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