Dans son discours, Laurent Gbagbo a félicité le pasteur Dion et par ricochet l’ensemble des chrétiens qui ont prié pour lui pendant la période carcérale à la Cour pénale internationale (Cpi), à la Haye.
« Quand les choses se passent et qu'elles sont mauvaises, nous pleurons parce que nous ne savons pas que devant, il y a des explications bonnes pour nous. Quand on m'a arrêté, on ne savait pas qu'il y aurait une explication bonne. Mais je vous remercie pour vos prières », a-t-il déclaré.
Ainsi, grâce aux prières, il a été acquitté et peut poursuivre sa marche dans la politique, une décennie après. « Quand on m'a arrêté en avril 2011, les gens criaient : "Gbagbo, c'est fini". 10 ans après, Gbagbo parle. Donc Gbagbo n'est pas fini ».
De retour de la prison sain et sauf, Laurent Gbagbo est l'une des personnalités mieux placée pour mesurer l'importance et la puissance de la prière dans la vie. Il l'a même fait savoir à l'issue de ce culte.
« Les gens croient que les prières sont des paroles simples. Elles ne sont pas simples. Il y a des personnes qui disent qu'ils prient Dieu mais ont l'impression qu'Il n'entend pas. Toi tu pries et quand Il décide, il le fait. S'Il décide de ne pas le faire, Il ne le fera pas...Vous avez beaucoup prié pour moi et je suis-là », dit-il en guise de reconnaissance.
0 Commentaires
Participer à la Discussion
Commentez cet article