« Les défis sont nombreux et c’est ensemble que nous pourrons les relever ». Ce sont les mots de Mimi Olivier, candidat au poste de Secrétaire général du Syndicat national des enseignants de second degré (Synesci). C’était à l’occasion d’une conférence de presse vendredi 17 novembre, à Adjamé 220 Logements. Selon lui, « les défis se résument en la question des primes et indemnités des enseignants, la question des Comité de gestion (Coges), les questions d’ordre pédagogique et environnemental et les cotisations syndicales ». Il a dit avoir entendu les cris du cœur de ses camarades militants. Et en a profité pour faire la promesse de « repositionner le Synesci comme fer de lance de la lutte syndicale en Côte d’Ivoire ».
Poursuivant, Mimi Olivier a promis de « rétablir le fonctionnement normal du Bureau exécutif national (Ben) du Synesci ». Pour ce faire, il insiste sur le suivi rigoureux et l’application effective des différents accords, et soumettre les préoccupations des enseignants aux autorités. Le conférencier du jour a fermé cette parenthèse en soulignant son vœu de réconcilier le Synesci avec ses militants. Il en appelle ensuite à l’engagement, à la mobilisation et au soutien des militants. A ce sujet, il souligne que leur « engagement doit se traduire par le paiement effectif de la cotisation exceptionnelle de 50.000 F Cfa comme droit de participation au congrès ».
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