Notons que cette journée coïncide avec les 10 ans de ces journées scientifiques organisées depuis 2014 par la Fondation Cœur citoyen.
C’est à juste titre que tous ceux qui se sont impliqués au départ corps et âme, dans la mise en œuvre de ce programme, ont été honorés au cours de cette rencontre.
« L’Hta est un tueur silencieux. En prélude donc à cette journée du 17 mai, nous avons jugé utile de rassembler les professionnels de divers domaines, dans le cadre d’une approche pluridisciplinaire pour réfléchir sur la maladie. Comment le prévenir, le traiter et assurer la prise en charge des malades victimes de cette pathologie ? », s’est interrogé Caroline Coulibaly, secrétaire générale de la Fondation Cœur citoyen.
Pour le Professeur Anicet N’Doubi, cardiologue et président de la Ligue ivoirienne de lutte contre l’hypertension artérielle, l’Hta est un problème de santé publique. Ce séminaire donne l’occasion à plusieurs spécialistes (néphrologues, diabétologues, dentistes, cardiologues, psychiatres) de partager leurs expériences. C’est une affection qui est transversale.
L’Hta étant un tueur silencieux, toutes les disciplines médicales doivent s’intéresser à la lutte contre cette pathologie.
Selon Professeur N’Doubi, l’Hta a une prévalence d’environ 25% et cette maladie commence à être la première cause de décès en Côte d’Ivoire.
« Vous constaterez qu’il y a beaucoup d’accidents vasculaires cérébraux (Avc), des maladies cardiovasculaires, c’est l’hypertension artérielle qui est généralement à la base de toutes ces pathologies. C’est à la fois un facteur favorisant, mais aussi une maladie qui donne des complications tant au niveau du cerveau que du rein. C’est la première cause de l’insuffisance rénale et des accidents cardiovasculaires. »
Pour le Professeur Tia Mélanie, de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké, l’importance de la lutte contre cette maladie nécessite une approche pluridisciplinaire et ce séminaire donne l’occasion aux professionnels de partager leurs connaissances et expériences sur cette mal.
« L’hypertension artérielle est la première cause des malades rénales. Il faut une prise en charge holistique tant dans le traitement que dans la prise en charge », a-t-elle soutenu.
L’Hta étant un tueur silencieux, toutes les disciplines médicales doivent s’intéresser à la lutte contre cette pathologie.
Selon Professeur N’Doubi, l’Hta a une prévalence d’environ 25% et cette maladie commence à être la première cause de décès en Côte d’Ivoire.
« Vous constaterez qu’il y a beaucoup d’accidents vasculaires cérébraux (Avc), des maladies cardiovasculaires, c’est l’hypertension artérielle qui est généralement à la base de toutes ces pathologies. C’est à la fois un facteur favorisant, mais aussi une maladie qui donne des complications tant au niveau du cerveau que du rein. C’est la première cause de l’insuffisance rénale et des accidents cardiovasculaires. »
Pour le Professeur Tia Mélanie, de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké, l’importance de la lutte contre cette maladie nécessite une approche pluridisciplinaire et ce séminaire donne l’occasion aux professionnels de partager leurs connaissances et expériences sur cette mal.
« L’hypertension artérielle est la première cause des malades rénales. Il faut une prise en charge holistique tant dans le traitement que dans la prise en charge », a-t-elle soutenu.
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