
Les 500 hommes de l'Ecomib, la mission de la Cedeao en Guinée-Bissau, sont sur le départ. Mais avant de plier bagage, ils attendent l'arrivée, la semaine prochaine, d'une mission de contrôleurs militaires, chargés du travail technique. Voilà pourquoi, selon la commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, les opérations de retrait n'ont pas débuté vendredi comme prévu.
La Cédéao se dit toujours déterminée à évacuer son contingent et à adopter des sanctions contre les dirigeants bissau-guinéens dans un mois, s'ils n'appliquent pas les accords de Conakry passés avec l'opposition en octobre 2016. Pourtant, derrière cette position de fermeté, on peut voir se dessiner la volonté de donner une dernière chance à José Mário Vaz.
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