Ce rapport couvre la période de janvier 2016 à juin 2017, c'est-à-dire la période dite intérimaire. Plus de 1200 violations, abus ou incidents ont été recensés, ainsi que 2700 victimes dont 441 tués.
Selon l'ONU, les acteurs non-étatiques restent les principaux responsables des violations des droits de l'homme dans le pays et cumulent à eux seuls 78% des actes dénoncés, même si la plupart des auteurs de ces violences, deux cas sur trois, ne sont pas identifiés. Signe de la complexité de la tâche pour une division des droits de l'homme dont les mouvements restent parfois limités pour des questions de sécurité.
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