Selon une information publiée par Radio Oméga et relayé par Bénin Web TV, la Côte d’Ivoire est venue au secours de son voisin Burkinabè avec un important don de matériels de guerre.
Interrogé sur la question par Oméga Médias, le Chef de l’Etat Burkinabè, le capitaine Ibrahim Traoré a confirmé ces dons et a indiqué que la demande est venue du Burkina faso.
Selon une information de Radio Oméga, la Côte d’Ivoire a livré une importante quantité de matériels militaires au Burkina Faso. Il s’agit de 50 véhicules pickup de type touareg, 1 000 fusils d’assaut AK47 (fabrication russe) et 100 000 munitions.
Selon une information de Radio Oméga, la Côte d’Ivoire a livré une importante quantité de matériels militaires au Burkina Faso. Il s’agit de 50 véhicules pickup de type touareg, 1 000 fusils d’assaut AK47 (fabrication russe) et 100 000 munitions.
Selon la même source, cet appui en armes de guerre dans le cadre de la lutte contre le terrorisme est une suite de la demande adressée par les autorités burkinabè à leur voisin de la Côte d’Ivoire.
« nous sommes limités par les moyens«
« Certains États sont venus en collaboration bipartite pour qu’on puisse mener des opérations » a déclaré le capitaine Ibrahim Traoré.
« nous sommes limités par les moyens«
« Certains États sont venus en collaboration bipartite pour qu’on puisse mener des opérations » a déclaré le capitaine Ibrahim Traoré.
Et de continuer, « Pour le cas de la Côte d’Ivoire, nous avons dit que nous voulons bien, mais nous sommes limités par les moyens ». C’est ainsi qu’est née l’idée d’une demande d’appui logistique à la Côte d’Ivoire pour mener des opérations communes contre les menaces terroristes.
« C’est dans ce sens que certains véhicules ont été remis à ces unités avec un peu d’armement depuis le mois de janvier ou décembre », explique le Président de la Transition, qui précise que « ces unités sont stationnées dans la zone de Banfora jusqu’à la frontière ivoirienne ». « Si la Côte d’Ivoire a décidé d’appuyer ces unités pour mener des opérations à sa frontière, c’est très bien. Cela empêche que cette zone soit infestée », salue le capitaine Traoré qui précise que l’absence de communication sur le sujet était un souhait des autorités ivoiriennes.
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