L’ex ministre de l’Education nationale, Amani N’guessan, est depuis peu dans la ville parisienne.
« Moi c’est Gbagbo », explique Amani N’guessan, selon L’inter. Une façon de donner sa position dans la crise qui secoue le Fpi.
A l’en croire, Affi serait dans une posture de vengeance que d’unification du Fpi.
Selon lui, cette volonté de vengeance serait née du souhait de certains cadres, aujourd’hui dans le camp Sangaré alors qu’Affi était en prison à Bouna. N’eût été l’intervention d’un groupe de cadres, dont Amani N’guessan lui-même, ce congrès aurait eu lieu et un nouveau président aurait été élu en remplacement de l’ancien premier ministre. « Cela, Affi ne le pardonne pas jusqu’à présent », apprend Amani N’guessan.
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