
La vente a attiré un large public, allant de professionnels aux simples curieux, tous engagés dans une compétition acharnée pour décrocher les lots. Qu’ils repartent déçus de ne pas obtenir le bien convoité ou satisfaits d’avoir réalisé une bonne affaire, les participants ont fait abstraction de l’origine criminelle des biens, se concentrant sur leur utilité ou leur valeur marchande, reprend le quotidien du Groupe futurs médias (Gfm).
Selon Mor Ndiaye, directeur de l’Onrac, cité par le titre de Gfm, cette opération s’inscrit dans la mission de l’Office visant à valoriser les biens saisis pour renflouer les caisses de l’État. Depuis sa création en 2023, l’Onrac a déjà permis un recouvrement de plus de 42 milliards.
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