La cérémonie d’incinération s’est déroulée en présence du sous-préfet d’Abengourou, Assi Abenon Firmin, et du substitut du procureur du tribunal de première instance d’Abengourou, Yéboua Eric. Le chef du village d’Adoukoffikro, nanan Adou Koffi II, représentait le roi Boa Kouassi III.
Ces marchandises, d’une valeur estimée à 300 millions de F Cfa, sont composées principalement de médicaments de qualité inférieure et falsifiés, de drogues, notamment de cannabis, et de boissons frelatées.
Elles ont été saisies par les différents services des douanes d’Abengourou sur la période du 1er janvier au 31 août 2023. « Sous aucun prétexte et sous aucune forme, ces marchandises ne doivent pénétrer sur le territoire ivoirien », a fait savoir le directeur régional des douanes, le colonel Ousmane Sanogo, insistant sur l’interdiction absolue de l’exportation de ces produits divers.
Le colonel Sanogo a affirmé que la destruction publique des marchandises est un message pour rassurer la population que les services sont faits pour montrer à tous ceux qui s’adonnent à ce genre d’activité que les produits prohibés saisis sont effectivement détruits.
Ces nouvelles formes de comprimés qui sont utilisés aujourd’hui ont très souvent pour destination les écoles pour mettre en difficulté l’avenir des enfants, a dénoncé l’autorité douanière.
Le substitut du procureur près le tribunal de première instance d’Abengourou a félicité les « soldats de l’économie » pour le travail abattu sur le terrain.
M. Yéboua a rassuré de la disponibilité du parquet d’Abengourou à accompagner les douaniers dans leur mission de sécuriser l’économie nationale.
Le représentant du procureur d’Abengourou a annoncé que tout est mis en œuvre au niveau de son parquet pour que les personnes impliquées dans ces actes puissent en répondre devant la loi.
Le sous-préfet, Assi Abenon Firmin, a encouragé les agents des douanes et salué « la parfaite collaboration » entre les commandants des unités de douane, de police, de gendarmerie, et des eaux et forêts qui a permis de donner un tel résultat.
Il a mis en garde les trafiquants et demandé aux populations de collaborer avec les forces de l’ordre en fournissant toutes les informations nécessaires pour faire barrage aux trafiquants véreux.
Ces marchandises, d’une valeur estimée à 300 millions de F Cfa, sont composées principalement de médicaments de qualité inférieure et falsifiés, de drogues, notamment de cannabis, et de boissons frelatées.
Elles ont été saisies par les différents services des douanes d’Abengourou sur la période du 1er janvier au 31 août 2023. « Sous aucun prétexte et sous aucune forme, ces marchandises ne doivent pénétrer sur le territoire ivoirien », a fait savoir le directeur régional des douanes, le colonel Ousmane Sanogo, insistant sur l’interdiction absolue de l’exportation de ces produits divers.
Le colonel Sanogo a affirmé que la destruction publique des marchandises est un message pour rassurer la population que les services sont faits pour montrer à tous ceux qui s’adonnent à ce genre d’activité que les produits prohibés saisis sont effectivement détruits.
Ces nouvelles formes de comprimés qui sont utilisés aujourd’hui ont très souvent pour destination les écoles pour mettre en difficulté l’avenir des enfants, a dénoncé l’autorité douanière.
Le substitut du procureur près le tribunal de première instance d’Abengourou a félicité les « soldats de l’économie » pour le travail abattu sur le terrain.
M. Yéboua a rassuré de la disponibilité du parquet d’Abengourou à accompagner les douaniers dans leur mission de sécuriser l’économie nationale.
Le représentant du procureur d’Abengourou a annoncé que tout est mis en œuvre au niveau de son parquet pour que les personnes impliquées dans ces actes puissent en répondre devant la loi.
Le sous-préfet, Assi Abenon Firmin, a encouragé les agents des douanes et salué « la parfaite collaboration » entre les commandants des unités de douane, de police, de gendarmerie, et des eaux et forêts qui a permis de donner un tel résultat.
Il a mis en garde les trafiquants et demandé aux populations de collaborer avec les forces de l’ordre en fournissant toutes les informations nécessaires pour faire barrage aux trafiquants véreux.
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