Le catalogue de mesures nouvelles adossé à la loi de finance 2022 fait ressortir un effectif global de 26314 personnes à recruter.
La Côte d’Ivoire nourrit de grandes ambitions. Parallèlement au secteur privé qui bénéficie de toute l’attention du gouvernement pour lui faire jouer le rôle de locomotive de l’économie nationale, l’administration publique se muscle davantage à travers le renforcement de son effectif pour répondre aux besoins de la population.
Les fonctionnaires civils se taillent la part du lion, soit 19 831 personnes ; suivent les militaires, 4 695 personnes ; les policiers, 1 688 et, enfin, les non fonctionnaires au nombre de 100.
Les charges coûteront à l’État, respectivement, 97,7 milliards de FCfa ; 11,9 milliards ; 4,9 milliards et, enfin, 0,3 milliard. Il faut rappeler que le personnel non fonctionnaire comprend, entre autres, le personnel de maison pour le corps préfectoral et les membres de cabinet ministériel non fonctionnaires. Comparativement à l’année dernière, les recrutements sont en hausse de 49,7%.
En 2021, l’effectif global des recrutements nouveaux était de 17 583 personnes. Quant à l’incidence financière, elle passe de 63,5 milliards à 114, 9 milliards de FCfa, soit une augmentation de 81,0% en 2022.
Par ailleurs, le gouvernement confirme le caractère prioritaire de l’éducation/formation dans sa politique en lui affectant 54,2% de l’effectif global à recruter. Soit 14 263 personnes, pour un coût projeté à 82,2 milliards (71,5% du coût global). Le secteur de la santé se verra renforcé de 4 125 agents (15,7% de l’effectif global) pour un coût de 12,8 milliards (11,1% du coût global).
Au total, le gouvernement prévoit de recruter 48 990 personnels civils pour un coût prévisionnel de 222,4 milliards, sur la période 2022-2024, dont 32 825 pour le secteur de l’éducation et 11 375 pour la santé.
A l’inverse, il est prévu 6 424 sorties de carrière en 2022 dont 4 625 pour limite d’âge statutaire.
Ainsi, dans le cadre de l’élaboration du catalogue des mesures nouvelles au titre de l’année 2022, des crédits budgétaires de 114,9 milliards de FCfa sont prévus pour le recrutement d’un effectif global de 26 314 personnes.
Les fonctionnaires civils se taillent la part du lion, soit 19 831 personnes ; suivent les militaires, 4 695 personnes ; les policiers, 1 688 et, enfin, les non fonctionnaires au nombre de 100.
Les charges coûteront à l’État, respectivement, 97,7 milliards de FCfa ; 11,9 milliards ; 4,9 milliards et, enfin, 0,3 milliard. Il faut rappeler que le personnel non fonctionnaire comprend, entre autres, le personnel de maison pour le corps préfectoral et les membres de cabinet ministériel non fonctionnaires. Comparativement à l’année dernière, les recrutements sont en hausse de 49,7%.
En 2021, l’effectif global des recrutements nouveaux était de 17 583 personnes. Quant à l’incidence financière, elle passe de 63,5 milliards à 114, 9 milliards de FCfa, soit une augmentation de 81,0% en 2022.
Par ailleurs, le gouvernement confirme le caractère prioritaire de l’éducation/formation dans sa politique en lui affectant 54,2% de l’effectif global à recruter. Soit 14 263 personnes, pour un coût projeté à 82,2 milliards (71,5% du coût global). Le secteur de la santé se verra renforcé de 4 125 agents (15,7% de l’effectif global) pour un coût de 12,8 milliards (11,1% du coût global).
Au total, le gouvernement prévoit de recruter 48 990 personnels civils pour un coût prévisionnel de 222,4 milliards, sur la période 2022-2024, dont 32 825 pour le secteur de l’éducation et 11 375 pour la santé.
A l’inverse, il est prévu 6 424 sorties de carrière en 2022 dont 4 625 pour limite d’âge statutaire.
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