«Il racontait du n'importe quoi» c'est en réponse à notre interrogation d'un gendarme sur la raison de la présence du sparadrap médical constaté au niveau de la bouche de Sam l'africain à l'ouverture vendredi de son procès pour xénophobie et atteinte à la sureté de l'Etat qui s'est ouvert au tribunal d'Abidjan.
Notre source précisera que Sam l'africain, qui se jour a écopé d'une peine de 6 mois de prison et d'une amende de 500 000 Fcfa, s'en prenait ouvertement au chef de l'Etat et invitait les passant à se révolter.Lire la suite
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