Mamadou Traoré, l’un des proches de l’ancien président de l’Assemblée nationale, Guillaume Soro a été entendu, 6 h durant lundi 15 février 2019 à la Préfecture de police.
Des informations relayées par le confrère Lg infos, dans sa parution du mercredi 17 avril 2019, il en ressort que l’un des points de la convocation de M. Traoré, figure des allégations, à lui prêtées, dans lesquelles il menaçait de divulguer la liste de personnalités du pouvoir qui émargeaient au bureau central des Forces nouvelles à l’époque de la rébellion. « On m’informe que suite à ma convocation, j’aurais publié sur internet qu’on m’a convoqué parce que suite à la démission de Guillaume soro de la présidence de l’Assemblée nationale, je m’apprêtais à aller à la Primature pour dire le nom de tous ceux qui émargeaient dans cette institution lorsque Soro était Premier ministre », a-t-il relaté après son audition.
Estimant que les motifs de sa convocation ne lui ont été signifié seulement que le jour J-, c’est-à-dire le lundi 15 avril 2019, M. Traoré a indiqué qu’il faisait l’objet de 5 chefs d’accusations. « Trouble à l’ordre public, offense au chef de l’Etat, atteinte à la sûreté de l’Etat, incitation à la violence et divulgation de secret professionnel » sont entre autres les chefs d’accusations qui lui aurait été notifiés. Rejetant en bloc toutes ces accusations, le proche de Guillaume Soro a jugé ces accusations sans fondements scientifiques et matériels.
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