Geremi Njitap : cocufié par sa femme, le camerounais victime de moqueries

Après avoir divorcé, pour avoir été trompé et maltraité par sa femme,  l’ex international camerounais Geremi Njitap est devenu sujet de moqueries sur la toile.

L’ancien joueur camerounais Geremi Njitap traverse depuis un moment une situation délicate dans sa vie de couple. Il a en effet découvert que  son épouse le cocufiait avec son ex. Et le comble dans cette affaire est qu’il ne serait pas le père biologique de ses trois enfants. Ce qui l’a donc poussé à demander le divorce.

Dans cette situation délicate, Geremi Njitap n’a pas reçu que des messages  de soutien. Il y a également d’autres qui profitent de cette épreuve pour se moquer de lui. A en croire ses détracteurs, il est victime  de son propre karma. Et pour  cause, il avait abandonné sa première femme, au détriment de cette dernière, qui est la fille d’un homme riche.

D’ailleurs, ils accusent l’ancien coéquipier de Samuel Eto’o d’être avare. Une ancienne déclaration de ce dernier a refait surface sur les réseaux sociaux, où il avait indiqué qu’il n’était pas du genre à tendre la main aux autres comme l’ancien capitaine des Lions Indomptables. « Je n’ai plus envie que les gens me dérangent. Je ne suis pas un Samaritain comme Samuel Eto’o. Lui c’est lui et moi c’est moi. J’ai pas souffert pendant des années pour sauver le monde entier. Ma propre famille se plaint même de moi, mais ça m’est égal. Seul Dieu me jugera et non les humains. Tu donnes, tu ne donnes pas, tu n’as jamais donné », disait-il.

Il a continué en se demandant : « À quoi ça sert ? J’ai toujours dit à Eto’o un jour ils se moqueront de toi. La Bible a tout prédit moi Njitap je reste le même. Mon argent est le mien si je n’avais pas joué au foot qui serait prêt à me venir en aide ? Je n’achète pas la sympathie. Tu n’entendras pas que j’ai fait un don vertigineux à quelqu’un. Beaucoup croient que je ne vis pas au Cameroun, je préfère m’enfermer chez moi. Ma barrière est toujours fermée même mon vigile n’a pas le plat chez moi son salaire suffit ».