« Ce qui se passe dans les compétitions internationales gêne tout le monde, assure ainsi le président de la Confédération africaine d'athlétisme (CAA), Hamad Kalkaba Malboum. Certains évoquent même une "invasion" des athlètes africains ».
Le Camerounais conclut, lors d’une conférence de presse de la CAA à Dakar : « La réglementation sur les changements de nationalité doit être revue. » Les règles actuelles sont pourtant déjà contraignantes. Un athlète ayant déjà défendu les couleurs d’un pays doit attendre trois ans pour changer de nationalité sportive.
Des dispositions comme l'entente entre fédérations peuvent néanmoins raccourcir ce délai à un an. Une autre autorise un athlète résidant dans un pays étranger pendant trois ans à en obtenir la nationalité sportive.
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