
Armel Sayo, le chef insurgé, faisait l'objet d'une traque active de la part des autorités centrafricaines en raison de crimes de guerre et d'une tentative de coup d'État.
Les délits perpétrés par Armel Sayo et la nécessité de son extradition réclamée par les forces de police de la RCA, en vertu d'un mandat international, ont conduit à cette exigence. Cependant, d'après le Globe France, il bénéficiait d'une protection consulaire spéciale de la part de la France au Cameroun, nationalité qu'il détenait également en plus.
« L'extradition a été retardée car il voyageait avec un passeport français et le Cameroun demandait l'autorisation de Paris avant de la renvoyer chez nous », a déclaré Fidèle Nguandjika, ministre-conseiller à la présidence de la Centrafrique, sur RFI.
« L'extradition a été retardée car il voyageait avec un passeport français et le Cameroun demandait l'autorisation de Paris avant de la renvoyer chez nous », a déclaré Fidèle Nguandjika, ministre-conseiller à la présidence de la Centrafrique, sur RFI.
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