
Récemment, des allégations de malversations financières impliquant l'ancien Premier ministre de transition, Choguel Maïga Kokalla, ont suscité un grand émoi au Mali.
L'ancien Premier ministre, Choguel Maïga, est au cœur d'une controverse financière ces derniers jours, après avoir été congédié par le président de la transition au Mali, le général Assimi Goïta.
Effectivement, le 30 décembre 2024, le BVG, un organe malien responsable de la supervision des dépenses publiques, a publié un rapport concernant l'administration de l'Agence de gestion du fonds d'accès universel (Agefau) pour la période de 2020-2023.
Il convient de noter que l'Agefau est placé sous la tutelle du Premier ministre, dont le rôle est de diriger le Conseil d'administration de l'établissement. Selon le rapport du BVG, une gestion financière entachée d'irrégularités est directement liée à l'ancien Premier ministre malien.
Réaction du docteur Choguel Maïga.
D'après les informations relayées par les médias locaux, en particulier Mali Jet, l'ex-chef de la primature malienne, a donné suite à ces allégations.
Effectivement, c'est lors de la cérémonie de présentation des vœux de son parti que l'ancien Premier ministre a rompu le silence concernant cette affaire, comme le rapporte encore le média.
« On doit se garder des abus. » Tout pouvoir qui tombe dans l'abus, c'est sa perte. Il n'est pas possible de diriger un peuple par la terreur.
Même en enfermant tout le monde, il faut gouverner avec vertu. « Tout homme politique qui instille la peur et la terreur parmi les gens finira inévitablement mal », aurait affirmé l'ex-Premier ministre du Mali.
Selon l'ex-Premier ministre, tous ces reproches ne sont que de la persécution à son encontre.
Effectivement, c'est lors de la cérémonie de présentation des vœux de son parti que l'ancien Premier ministre a rompu le silence concernant cette affaire, comme le rapporte encore le média.
« On doit se garder des abus. » Tout pouvoir qui tombe dans l'abus, c'est sa perte. Il n'est pas possible de diriger un peuple par la terreur.
Même en enfermant tout le monde, il faut gouverner avec vertu. « Tout homme politique qui instille la peur et la terreur parmi les gens finira inévitablement mal », aurait affirmé l'ex-Premier ministre du Mali.
Selon l'ex-Premier ministre, tous ces reproches ne sont que de la persécution à son encontre.
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