L’information a été livrée le mardi 12 décembre 2023, au cours d’une conférence de presse à Abidjan-Plateau, par le Ceo de ce groupe minier, Jeff Quartermaine. Le démarrage des travaux est prévu pour l’année prochaine.
« La mine souterraine de Yaouré sera aux standards les plus élevés, notamment aux standards australiens. La santé, la sécurité des employés restent notre priorité absolue pour le développement de ce projet », a déclaré Jeff Quartermaine, promettant aux travailleurs un environnement propre, saint et sécurisé. « Nous comptons travailler avec l’administration, mettre en place toute la réglementation pour qu’on puisse opérer cette mine souterraine conformément aux règles en vigueur », a-t-il souligné.
Selon lui, cela permettra la prolongation de la durée de vie de la mine d’or de Yaouré jusqu’en 2036 pour une production de 550 000 onces d’or supplémentaires. En somme, cette mine souterraine va porter la production totale prévue de Yaouré à 2,56 millions d’onces, soit 73 tonnes.
Outre la production d’or, cette mine générera 5,7 millions de dollars en contribution supplémentaire aux communautés, 222 emplois directs supplémentaires, 57 millions de dollars en redevances supplémentaires et plus de 15 millions de dollars potentiel d’impôts de revenus supplémentaires. « Un partenariat avec le gouvernement ivoirien doit être mis en place pour pouvoir obtenir les permis et les droits nécessaires au projet, de sorte que la prolongation de la durée de vie de la mine de Yaouré ait des retombées positives pour toutes les parties prenantes », a indiqué le Ceo.
L’exploitation des mines souterraines génère une empreinte environnementale inférieure avec moins de déchets, poussière, émissions et bruit, moins de perturbation des sols. « L’étude de faisabilité sur l’exploitation minière souterraine sous la fosse actuelle de Cma a été achevée », a-t-il rassuré.
« La mine souterraine de Yaouré sera aux standards les plus élevés, notamment aux standards australiens. La santé, la sécurité des employés restent notre priorité absolue pour le développement de ce projet », a déclaré Jeff Quartermaine, promettant aux travailleurs un environnement propre, saint et sécurisé. « Nous comptons travailler avec l’administration, mettre en place toute la réglementation pour qu’on puisse opérer cette mine souterraine conformément aux règles en vigueur », a-t-il souligné.
Selon lui, cela permettra la prolongation de la durée de vie de la mine d’or de Yaouré jusqu’en 2036 pour une production de 550 000 onces d’or supplémentaires. En somme, cette mine souterraine va porter la production totale prévue de Yaouré à 2,56 millions d’onces, soit 73 tonnes.
Outre la production d’or, cette mine générera 5,7 millions de dollars en contribution supplémentaire aux communautés, 222 emplois directs supplémentaires, 57 millions de dollars en redevances supplémentaires et plus de 15 millions de dollars potentiel d’impôts de revenus supplémentaires. « Un partenariat avec le gouvernement ivoirien doit être mis en place pour pouvoir obtenir les permis et les droits nécessaires au projet, de sorte que la prolongation de la durée de vie de la mine de Yaouré ait des retombées positives pour toutes les parties prenantes », a indiqué le Ceo.
L’exploitation des mines souterraines génère une empreinte environnementale inférieure avec moins de déchets, poussière, émissions et bruit, moins de perturbation des sols. « L’étude de faisabilité sur l’exploitation minière souterraine sous la fosse actuelle de Cma a été achevée », a-t-il rassuré.
Le conférencier a rappelé que plus de 600 000 onces d’or ont été produites à Yaouré entre 2021 et fin juin 2023. Les contributions communautaires s’élèvent à 2,4 milliards de FCfa pour l’année fiscale 2023.
Le directeur général des mines et de la géologie, Coulibaly Seydou, représentant le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, Coulibaly Mamadou Sangafowa, a félicité ce groupe minier pour la confiance placée en la Côte d’Ivoire et surtout pour le développement des localités hôtes. « Pour le projet de réfection de la route et du bitumage du carrefour de Toumokro jusqu’au site minier d’Angovia, ils ont pris l’engagement, sur 9 milliards de FCfa, d’apporter 6 milliards de FCfa et la Côte d’Ivoire 3 milliards de FCfa », a déclaré Coulibaly Seydou.
Il a profité de cette occasion pour appeler les propriétaires terriens à ne pas donner leurs terres aux orpailleurs clandestins. « Celui qui veut faire de l’exploitation, le processus d’attribution des autorisations a été accéléré. En 2002, il y a eu 85 semi-artisanales attribuées et 155 semi-industrielles. Aujourd’hui à fin septembre, on a 227 autorisations semi-industrielles qui ont été attribuées et 153 artisanales attribuées. D’ici la fin de l’année, nous pouvons atteindre les 300 », s’est-il réjoui.
Quant au directeur général pays du groupe minier, Dr Yacouba Diarra, il a indiqué que Yaouré produit autour de 250 000 onces, soit près de 5 à 6 tonnes l’année faisant à peu près 300 milliards de FCfa. « L’activité minière industrielle contrairement à l’orpaillage que vous connaissez est bien encadrée, réglementée. Il y a des cahiers de charges et les sociétés minières sont contrôlées par les organismes de régulation », a-t-il précisé.
Le directeur général des mines et de la géologie, Coulibaly Seydou, représentant le ministre des Mines, du Pétrole et de l’Energie, Coulibaly Mamadou Sangafowa, a félicité ce groupe minier pour la confiance placée en la Côte d’Ivoire et surtout pour le développement des localités hôtes. « Pour le projet de réfection de la route et du bitumage du carrefour de Toumokro jusqu’au site minier d’Angovia, ils ont pris l’engagement, sur 9 milliards de FCfa, d’apporter 6 milliards de FCfa et la Côte d’Ivoire 3 milliards de FCfa », a déclaré Coulibaly Seydou.
Il a profité de cette occasion pour appeler les propriétaires terriens à ne pas donner leurs terres aux orpailleurs clandestins. « Celui qui veut faire de l’exploitation, le processus d’attribution des autorisations a été accéléré. En 2002, il y a eu 85 semi-artisanales attribuées et 155 semi-industrielles. Aujourd’hui à fin septembre, on a 227 autorisations semi-industrielles qui ont été attribuées et 153 artisanales attribuées. D’ici la fin de l’année, nous pouvons atteindre les 300 », s’est-il réjoui.
Quant au directeur général pays du groupe minier, Dr Yacouba Diarra, il a indiqué que Yaouré produit autour de 250 000 onces, soit près de 5 à 6 tonnes l’année faisant à peu près 300 milliards de FCfa. « L’activité minière industrielle contrairement à l’orpaillage que vous connaissez est bien encadrée, réglementée. Il y a des cahiers de charges et les sociétés minières sont contrôlées par les organismes de régulation », a-t-il précisé.
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